Laroute de la soie étant coupée des relations maritimes permettent des contacts avec l'Inde. En 577, un général du nord, Sui Wendi, réunifie le nord de la Chine puis il conquiert la Chine du Sud réalisant ainsi la réunification entière du monde chinois. Notes . ↑ En chinois, le nom du pays est Zhongguo, qui signifie pays du milieu. Synonymespour la definition "Berceau de la Route de la Soie du Sud" avec la liste des solutions classés par nombre de lettres Cookies Utilisation de cookies et protection vos données. Notre organisation et ses partenaires peuvent stocker et/ou accèder à des informations sur votre appareil, telles que les identifiants uniques de cookies pour traiter les données 1Le pays Qiuci avait pour centre l’oasis de Qiuci ; il bordait le tracé nord de la route de la Soie sous les Han, et constitua une des quatre places fortes d’Anxi sous les Tang. La production artisanale abondante, la richesse et la prospérité du pays Qiuci ainsi que sa situation sur la route de la Soie expliquent qu’il ait été le berceau de nombreux trésors. Faireun trek de plusieurs jours au Kirghizistan est idéal pour découvrir ce petit pays d'Asie Centrale recouvert à plus de 90% par les hautes montagnes du Tian Shen et du Pamir, berceau de plus de 2 000 lacs d’altitude, et musée de paysages époustouflants. Ce sera l’occasion de s’enfoncer dans cette nature sauvage, autrement inaccessible, d’aller à la Toutcommence par la découverte de la route du Cap à l’extrême sud de l’Afrique suivie de l’arrivée et l’installation en 1652 des colons Lesvestiges de sites antiques et les monuments du moyen age rappellent que jadis la vallée était le berceau de différentes civilisations. Au début du Ier millénaire, Davan est devenue une étape-clé sur la route de la soie. Jadis l’un des berceaux de la religion zoroastrienne, Ferghana a joué au Moyen Âge un rôle central dans l’histoire du puissant Empire moghol d’Asie du sud . En ce 21 juillet, nous serons à moto, sur la Route de la Soie que Léopold et ses 2 comparses Thibaut et Donald ont parcouru. Nous commençons le voyage au départ de l'Inde, pour entrer au Pakistan. Ils voulaient entrer dans des pays qu'ils n'avaient pas l'habitude de voir mais dont la sécurité peut être remise en cause. Ils voulaient être livrés à eux-mêmes, voir comment se débrouiller sans toute cette technologie omniprésente. Élaboration du projet L'idée partait d'un délire. Au début, Léopold voulait acheter une moto en Inde et la ramener en Belgique par bateau. Il s'est rendu compte que l'Iran était entre les deux pays et qu'il serait intéressant de le visiter. De fil en aiguille l'idée de faire la route New Delhi-Bruxelles à moto à germer dans la tête de ce jeune en quête d'aventure. Après en avoir parlé à ses deux amis, ils se sont lancés dans l'élaboration du voyage. Ils n'ont pas suivi de ligne droite mais ils ont plutôt dérivé seon leurs envies. Chine, Pakistan et tout autre pays en -stan se retrouveront sur la liste. Ils sont 3 à moto, des Royal Enfield, moto indienne mythique, mais sans permis mais heureusement, ils avaient un bon équipement, à défaut d'expérience. "Il faut rentrer à fond dans l'aventure parce qu'on ne peut pas tout contrôler" et de l'aventure, ils en auront. Entre squatter une tente et se faire inviter pour le thé après une panne mécanique au beau milieu de nulle part, l'aventure est là et ne les quittera pas avant le retour en Belgique... "On a passé 7h au poste de douane pour quitter l'Inde." "On a eu souvent des accidents à moins de 10km/h." "Pour être un voyageur, il faut être propriétaire de son moyen de transport" "Il y a des mains qui commencent à ouvrir la tente" "On voit la copie conforme de Pékin" Introduction Chapitre premier – Les représentations géopolitiques en ChineI. – Éléments de culture stratégiqueII. – Siècle d’humiliation et victimisationIII. – L’héritage des dirigeants de la République populaire Chapitre II – L’ancrage continentalI. – Géopolitique des frontières terrestres de la ChineII. – Une nouvelle route de la soie ? III. – Les soubresauts du partenariat avec la Russie Chapitre III – Le tournant maritimeI. – Le verrou taïwanaisII. – Frontières maritimesIII. – Rivalité stratégique avec l’alliance nippo-américaine Chapitre IV – Nouveaux horizons ambitions mondiales, empreinte globaleI. – Une géo-économie de l’expansion globale de la ChineII. – La Chine, une puissance africaineIII. – La non-ingérence, un principe en question Conclusion 1Les routes caravanières qui permettaient, depuis la Russie ou l’Iran, de gagner la Chine passaient par l’Asie centrale puis par le Turkestan oriental l’actuel Sinkiang [1], après avoir franchi le désert turkmène ou la steppe kazakhe, les monts T’ien-chan ou les hauts plateaux du Pamir. La plus importante de ces routes se partageait ensuite, au niveau de l’oasis de Kachgar, en trois itinéraires qui contournaient, par le nord et par le sud, le Takla-Makan, l’un des plus vastes déserts de sable d’Asie. Tous convergeaient vers la porte extrême-occidentale de la Grande Muraille, par où ils pénétraient en Chine en suivant le couloir du Kan-sou, qui se glisse entre le désert de Gobi et le Tibet du Nord. La soie n’a été qu’une des nombreuses marchandises convoyées par les caravanes qui empruntaient ces routes asiatiques. Elle était très prisée en Iran, en Asie Mineure et en Occident, et c’est sans doute la raison pour laquelle, au milieu du xixe siècle, le géographe allemand von Rechthofen a forgé l’expression route de la Soie » pour qualifier celle qui apportait, depuis deux millénaires, cette précieuse matière en Europe. 2L’expression route de la Soie » est, on ne peut le nier, poétique et exotique et, au xixe siècle comme aujourd’hui, elle a incité les Européens au rêve et à l’aventure. Elle excitait surtout l’imaginaire d’une Europe mal informée - pour ne pas dire totalement ignorante -, non pas sur la Chine qui se trouvait à l’extrémité de cette route, ni sur l’Asie Mineure, l’Iran ou la Russie qui en étaient les premières étapes orientales, toutes à peu près connues, mais sur les parties centrales de cette route la Transoxiane, qui abritait les villes mythiques de Boukhara et de Samarkand, et surtout le Turkestan oriental deux régions demeurées quasiment inconnues jusqu’au milieu du xixe siècle, enfin la zone frontière avec la Chine, le Kan-sou, où les dernières tours de garde des murailles de la Chine se heurtaient aux dunes géantes des grands déserts d’Asie. Or ces deux dernières régions sont celles où les peuples d’Asie centrale obtenaient des Chinois la soie, le thé, la porcelaine et le satin, échangés contre du jade, des chevaux, des pierres précieuses et des fourrures. Vers l’ouest cheminaient donc la soie, la porcelaine, le satin, et vers l’est le jade et les chevaux. La route de la Soie apparaît dès lors comme une vue de l’Occident, réductrice par ailleurs puisque l’expression laisserait penser que la soie seule a marqué de son empreinte l’ensemble des routes caravanières et que cette matière se trouvait au centre d’un échange direct avec la Chine. La route de la Soie serait alors un mythe, une fiction historique. 3L’œuvre de Fernand Braudel peut nous aider à comprendre les raisons de son existence. Prenant en considération l’action des hommes et les relations qu’ils avaient tissées avec des régions lointaines, cet historien étendait le monde méditerranéen, berceau de l’Occident, bien au-delà de ses frontières géographiques. Sa Plus Grande Méditerranée » intégrait des Orients proches ou lointains à travers les caravanes qui aboutissaient sur les rives de la Méditerranée [2]. À ce titre, on peut admettre qu’à travers la soie, la porcelaine ou le satin, d’abord achetés par les Romains aux Parthes et aux Sogdiens, ensuite par les marchands génois et vénitiens aux Persans, la Plus Grande Méditerranée se trouvait ainsi économiquement et culturellement liée à l’Asie centrale. Cette Asie n’allait cependant pas au-delà des marchés fréquentés par les Romains et les Persans. On croyait alors, et nous croyons encore, que la route de la Soie allait jusqu’en Chine. Elle s’arrêtait en fait au Turkestan. À l’Est, elle s’appelait tout simplement Grande Route » ou Grande Route des caravanes [3] ». S’il avait fallu lui trouver un nom, c’est sous celui de route du Cheval, ou de route du Thé, ou de route du Jade, qu’elle aurait été connue. Notre savoir s’arrêtait aux limites de la Plus Grande Méditerranée et ne nous permettait pas de connaître ou même d’imaginer ce qui pouvait exister au-delà, si tant est qu’on pût même, à l’époque, concevoir un au-delà. 4Les routes du Thé fournissaient aux nomades des steppes du Turkestan et de Mongolie les feuilles nécessaires à la fabrication de cette boisson, préférée au célèbre lait de jument koumis. Vue de Chine, cette route devenait une route du Cheval, puisque le thé était échangé en priorité contre les chevaux de la steppe, petits et résistants, dont l’empire du Milieu manquait tant. Les routes de Haute-Asie étaient, enfin et surtout, pour les Chinois et pour les Centre-Asiatiques, des routes du Jade. Le jade, originaire du Turkestan, avait pour les premiers une importance religieuse et politique unique. Plus que les autres marchandises échangées sur la Grande Route, il s’inscrit dans la longue durée et marque les relations politiques et économiques entre la Chine et le Turkestan oriental bien avant l’ère chrétienne et jusqu’au xviiie siècle, lorsque l’empire du Milieu connut une ruée sans précédent vers les marchés de jade du Turkestan, à l’image de la ruée vers l’or dans l’Ouest américain [4]. 5À l’époque de la dynastie des Han 206 av. apr. les Chinois établirent, au point de convergence des routes venues d’Occident, à l’extrémité ouest de leur Grande Muraille, un poste de garde appelé la porte de Jade Yu-men, qui marquait la frontière entre la civilisation - leur civilisation - et la barbarie. La porte de Jade était donc la porte de la Chine lorsqu’on arrivait d’Asie centrale. Elle gardait l’accès du corridor du Kan-sou et exerçait un contrôle rigoureux sur tout ce qui entrait dans l’empire du Milieu ou en sortait. Comme on le constate, depuis l’Asie centrale, rien sur cet axe n’évoque le transit de la soie. Certes, celle-ci est passée par la porte de Jade, mais la toponymie, cette grande mémoire de l’humanité, n’en a pas fixé le souvenir. En Chine, la soie n’a été, à la différence de ce qu’elle a signifié pour l’Occident, ni la plus précieuse ni la plus recherchée des matières. Elle n’a eu d’importance que comme monnaie d’échange. Le chanvre, par exemple, lui était préféré et était plus coûteux. Le jade, en revanche, rare sur le territoire chinois et dont la jouissance n’était réservée qu’aux empereurs, à leurs fils et aux grands dignitaires de l’empire, fut la gemme la plus recherchée pendant des millénaires. Le jade provenait essentiellement des oasis de Yarkand et de Khotan, situées aux confins du désert de Takla-Makan, sur la route du Sud, la plus empruntée alors, et c’est lui qui donna son nom à la porte. Turkestanais ou Chinois, tous s’adonnèrent au commerce de cette pierre, qui non seulement avait précédé celui de la soie sur la Grande Route mais qui bien souvent l’emporta sur celui-ci au cours de l’histoire. Lorsque, au début du xviie siècle, le jésuite Benedict Goës, en route pour la Chine, visita l’oasis de Yarkand, il constata que le produit le plus recherché et le mieux négociable, sur la route et surtout en Chine, était, ainsi qu’il l’écrit, une espèce de marbre translucide que l’on nomme jaspe ». Encore inconnu en Occident, le jade était ainsi nommé par les voyageurs européens qui le découvraient, depuis Marco Polo qui l’avait vu au même endroit trois siècles auparavant. 6S’il est aujourd’hui de plus en plus difficile de parler d’une route de la Soie pour caractériser l’ensemble des itinéraires transasiatiques, à moins de préciser où l’on se situe - en Occident ou en Chine -, et ce en dépit de la récupération touristique par les Chinois comme par les Occidentaux, ne serait-il pas tout aussi maladroit de parler d’une route ou de routes du Jade à propos de la route du Sud du Takla-Makan, et le titre de ce livre ne contribuerait-il pas à entretenir un autre mythe ? Ce serait le cas, en effet, si l’objectif de cet ouvrage était de remplacer la route de la Soie par celle du Jade. Les deux routes, du reste, ne sont pas comparables puisque, si la soie a établi un lien entre l’Europe et l’Asie, le jade n’a jamais rapproché que l’Asie centrale et la Chine. Dans la mesure toutefois où l’on considère la Grande Route depuis la Chine, telle que la voyait, par exemple, un marchand de Sou-tcheou ou de Yang-tcheou sur la mer Jaune, l’expression route du Jade » acquiert un sens. Elle possède également un sens pour les différents peuples qui ont habité les oasis de Yarkand et de Khotan, où cette pierre abondait, et pour tous les marchands et contrebandiers du Turkestan oriental, qui savaient que le jade pouvait, mieux que la soie, faire leur fortune. Qui avait entendu parler alors, en Occident, hormis quelques voyageurs, de la fascination sans limites de l’empire du Milieu pour cette pierre et de l’existence d’un commerce ancien la concernant dans les pays situés au centre de la route qui leur apportait la soie ? Aurait-on seulement pu l’imaginer, puisqu’en Europe on ignorait tout, en fait, de cette pierre jusqu’au milieu du xixe siècle ? 7Au cours des recherches qui ont précédé et accompagné l’écriture de cet ouvrage, je me suis longtemps posé la question de savoir si l’expression route du Jade » avait une consistance historique et si elle avait déjà été employée par des historiens. Je cherchais en fait la confirmation d’une intuition qui m’avait traversé l’esprit. La découverte de cette expression Kach Techi Yoli, en ouïgour sous la plume d’historiens orientaux, principalement ouïgours et japonais, qui ont regardé la route depuis l’Asie n’est pas le fait du hasard. Ces historiens expliquent que la Grande Route était connue des Chinois aux époques les plus anciennes parce qu’elle apportait le jade en Chine. De même, la route de la Soie avait succédé à celle du Jade, confirmant l’antériorité du commerce du jade sur celui de la soie [5]. Il importe toutefois de signaler que c’est le commerce de la soie qui a étendu la Grande Route jusqu’à l’Asie Mineure [6]. 8L’expression route du Jade » recouvre donc au moins trois réalités. La première est la présence d’un commerce du jade de l’Asie centrale vers la Chine qui, à une époque lointaine, l’emportait sur tous les autres échanges. Après avoir emprunté la route qui contournait le désert de Takla-Makan par le sud, ce commerce a suivi plusieurs autres routes, par le centre ou par le nord, pénétrant en Chine par le corridor du Kan-sou, mais aussi par une voie plus septentrionale à travers le désert de Gobi et la Mongolie. La deuxième réalité est l’existence d’un itinéraire précis, le plus ancien, que l’on peut appeler route du Jade. C’est la piste caravanière du Sud, qui longe le désert de Takla-Makan et traverse le désert du Lop. Cette voie fut empruntée par les marchands de jade approximativement entre le iie siècle av. et le ive siècle apr. plus rarement ensuite, quoiqu’elle ne fût jamais totalement abandonnée. C’est sur cet itinéraire que se trouvent les cités riches en jade de Yarkand et de Khotan. La troisième réalité, enfin, fait référence au rôle du jade dans l’histoire politique, religieuse, culturelle et économique de la Chine, rôle beaucoup plus important, par exemple, que celui joué par l’or en Occident. L’importance de la pierre peut se résumer en peu de mots le jade faisait l’empereur et était la plus parfaite représentation du principe du yang, dispensateur de vie. Notes [1] Des tableaux en fin de volume permettront au lecteur de trouver l’orthographe exacte en alphabet latin chinois pinyin des noms communs et des noms propres, transcrits ici selon le système de l’École française d’Extrême-Orient qui a l’avantage d’indiquer la prononciation exacte. [2] Fernand Braudel, La Méditerranée et le Monde méditerranéen à l’époque de Philippe II [1949], Paris, Armand Colin, 1990, vol. I, pp. 201 sqq. [3] Gülzäpär Muhämmät, Un regard sur le développement du commerce au Sinkiang aux époques anciennes », in Études de sciences sociales du Sinkiang, 1998, 3, p. 63 [turc ouïgour] ; Niyaz Kirimi, Les anciennes routes caravanières du Sinkiang », in Études de sciences sociales du Sinkiang, 1989 [turc ouïgour]. [4] James A. Millward, Beyond the Pass. Economy, Ethnicity, and Empire in Qing Central Asia, 1759-1864, Californie, Stanford University, 1998, pp. 180-191. [5] Yoshito Harada, East and West II », in Memoirs of the Research Department of the Toyo Bunko, Tokyo, 1971, 29, pp. 57-79 ; Qasim Arshi, La route de la Soie et la civilisation occidentale », in Journal scientifique de l’université du Sinkiang, Urumchi, 1994, 1, pp. 109-122 [turc ouïgour] ; Sun Bing, Le jade de Khotan, célèbre dans le monde », in Göhär Zemin Khotän [Khotan, pays des joyaux], Shinjang Sän’ät Näshriyati, 1995 [turc ouïgour] ; et Häbibä Abdulla, Propos sur le jade de Khotan », in Memorandum du Sinkiang, 1999 [turc ouïgour]. [6] Abdulkerim Rähman, Osman Ghäyräjan, Le Sinkiang, carrefour de la route de la Soie », in Journal scientifique de l’université du Sinkiang, Urumchi, 1990, 4, pp. 14-27 [turc ouïgour]. Le Monde Afrique Pékin doit accueillir en mai son premier Forum international consacré au nouvel itinéraire. Un changement d’envergure décrypté par notre chroniqueur. Publié le 24 avril 2017 à 18h00 - Mis à jour le 24 avril 2017 à 18h00 Temps de Lecture 5 min. La Route de la soie version XXIe siècle n’a plus grand-chose à voir avec les caravanes de commerçants chargées d’épices, de pierres précieuses et d’étoffes rares qui traversaient les plaines d’Asie centrale en direction de la Rome antique. Aujourd’hui, c’est en conteneurs que voyagent les tee-shirts chinois. Problème, ils voyagent de moins en moins, coûtent de plus en plus cher à fabriquer et l’empire du Milieu voit ses taux de croissance s’effondrer. Lire aussi Une nouvelle banque chinoise pour financer les infrastructures de l’Afrique Les dirigeants chinois ont bien assimilé l’interdépendance entre leur économie et celle du reste du monde. Ainsi, quand l’économie mondiale est grippée, la Chine en fait inexorablement les frais. Pékin joue donc son va-tout sur la scène internationale en multipliant les investissements dans les infrastructures », explique Barthélémy Courmont, directeur de recherche à l’Institut de relations internationales et stratégiques IRIS et auteur d’une note intitulée Quand la Chine investit dans les infrastructures ». Un accélérateur de la Chinafrique En économisant sur les coûts de transport et de logistique, la Chine espère relancer ses exportations. C’est l’objectif de cette fameuse une ceinture, une route », plus communément appelée nouvelle Route de la soie », qui verra se rassembler une trentaine de chefs d’Etat, dont les présidents du Kenya et de l’Ethiopie, à l’occasion de ce premier forum organisé à Pékin les 14 et 15 mai. Les Nations unies, le FMI et la Banque mondiale seront également représentés. Après avoir boudé les initiatives parallèles de la Chine en matière de développement et de finance internationale, les grands argentiers de la planète sont aujourd’hui à la remorque de ce projet. Il ne se passe plus à Pékin une réunion internationale ou une visite d’Etat sans que la Route de la soie ne soit à l’agenda. Pour l’Afrique, ce projet est particulièrement important et certains estiment même que cette route est avant tout un accélérateur de la Chinafrique. Lire aussi L’Afrique pourrait devenir l’usine de la Chine » L’Afrique de l’Est tire notamment son épingle du jeu et trois pays sont aux avant-postes le Kenya, l’Ethiopie et Djibouti. Sur place, les ports, les voies ferrées et les routes sont financés largement par la Chine 4 milliards de dollars 3,7 milliards d’euros pour relier l’Ethiopie à Djibouti, 13 milliards pour irriguer le Kenya d’un maillage de voies ferrées… Plus de la moitié des investissements prévus par la Chine dans le cadre de cette nouvelle Route de la soie iront à l’Afrique. Ce sont surtout les installations portuaires qui sont concernées. L’encerclement du continent par une dizaine de ports financés par la Chine correspond ainsi à cette ceinture » évoquée par Pékin. 90 % des importations et des exportations africaines passent par la mer. Durban en Afrique du Sud et Port-Saïd en Egypte étant les deux plus importants ports de conteneurs du continent africain, il était indispensable de proposer d’autres portes d’entrée dans la corne de l’Afrique et en Afrique de l’Ouest et du Nord. Un usage commercial et militaire Pour Pékin, il ne s’agit pas d’un programme d’aide mais bien d’un projet commercial visant à relancer et à fluidifier le commerce international. Une sorte de plan Marshall qui permettrait de servir la demande chinoise en matières premières africaines et la demande africaine en marchandises made in China ». Côté commercial, ce contrôle des mers porte déjà ses fruits. Les cinq plus importants transporteurs maritimes chinois transportent 18 % des conteneurs qui sillonnent la planète. Concernant les terminaux maritimes, les deux tiers des cinquante plus gros ports de la planète sont financés par des capitaux chinois à hauteur d’au moins 20 %, selon le cabinet FT Research. Les ports à capitaux chinois voient défiler les deux tiers des conteneurs qui circulent sur les mers de la planète. Lire aussi Quand la Chine rend l’Afrique plus verte Mais derrière ce programme se cachent également des ambitions stratégiques. La Chine entend ainsi se développer comme une nouvelle puissance maritime à même de faire face aux Etats-Unis. La pax americana laisserait place à la pax sinica. Plusieurs de ses nouvelles installations portuaires auront en effet un double usage commercial et militaire. C’est le cas notamment de Djibouti qui accueillera la plus importante base militaire chinoise à l’étranger, de Sao Tomé-et-Principe, des Seychelles et de Walvis Bay en Namibie. Ces installations, dont la construction doit s’achever d’ici à la fin de l’année, accueillent déjà des militaires chinois et des bateaux de guerre sous couvert de la lutte contre la piraterie ou de la sécurisation des installations portuaires. Protéger ses intérêts à l’étranger Depuis 2015, cette stratégie a été définie dans un nouveau livre blanc. Un document qui explique que la marine chinoise n’a plus seulement pour objectif de défendre les frontières terrestres de l’empire du Milieu, mais également de protéger ses intérêts à l’étranger et les voies de communication maritimes. Ceci explique comment nous sommes passés d’un chèque de 9 milliards de dollars 8,3 milliards d’euros en 2012 pour construire un nouveau port à Djibouti à l’ouverture d’une base militaire cinq ans plus tard – sous couvert d’un centre logistique – devenue le centre opérationnel militaire de la Chine en Afrique avec près de 10 000 militaires déployés à terme ! Lire aussi Les petits arrangements diplomatiques de la Chinafrique La Route de la soie version XXIe siècle n’est plus seulement commerciale, ce qui inquiète évidemment les Américains, l’un des seuls pays à ne pas participer à ce projet. Le nouveau secrétaire américain à la défense, Jim Mattis, a d’ailleurs effectué une visite, dimanche 23 avril, de la base militaire américaine à Djibouti, la seule permanente des Etats-Unis en Afrique. C’était la première visite en Afrique d’un membre de la nouvelle administration Trump. Le général Waldhauser, lui, qui dirige le Commandement des Etats-Unis pour l’Afrique Africom, avait indiqué en mars au Congrès américain qu’il avait fait part au président djiboutien Guelleh de ses inquiétudes. J’ai exprimé mes préoccupations sur ce qui est important pour nous que les Chinois fassent ou pas », avait-il déclaré devant la commission des forces armées du Sénat américain. Lire aussi Washington compte sur la France pour continuer ses opérations au Sahel Cité par le Financial Times, un officiel chinois souligne de son côté qu’en cas de nouvelle crise militaire en Afrique ou au Moyen-Orient – il fait référence à l’évacuation de 36 000 ressortissants chinois de Libye en 2011, nous pourrions évacuer directement nos ressortissants en utilisant nos propres navires depuis le continent africain vers notre port… du Pirée » Grèce… Une route qui n’a plus rien de pacifique. Sébastien Le Belzic est installé en Chine depuis 2007. Il dirige le site Chinafrica. info, un magazine sur la Chinafrique » et les économies émergentes. Sébastien Le Belzicchroniqueur Le Monde Afrique, Pékin L'impression de la Route de la Soie ChineCircuit de 16 jours sur Pékin - Luoyang - Xi'an - Zhangye - Jiayuguan - Dunhuang - Tourfan - Urümuqi - ShanghaiÀ Ne Pas ManquerLe circuit inclut des sites classés par l’UNESCO de pékin, xi'an et la route de la occasion unique de vous initier au véritable kungfu chinoisObservez la magnifique vue sur les paysages de DanxiaVisitez le Musée du Louvre Oriental » les grottes de Mogao, et réalisez vraiment l’importance de l'échange culturel millénaire sur la Route de la Soie grâce à l’histoire des quatre comtés de Hexi ; Personnalisez votre voyage Votre agenda Vos goûts Vos hôtels préférés à partir de 3989€ /p Voyage privé Basé sur 2 personnes & hôtels de 4 étoiles Itinéraire suggéréCet itinéraire vous est proposé à titre d’exemple, ainsi que des conseils pour personnaliser votre voyage. 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A l’inverse, si vous êtes de nature dynamique,nous pouvons prévoir de nombreuses activités dès votre Cité Interdite profonde2h30 à 4h de marcheLa visite de la Cité Interdite, résidence de 24 empereurs des dynasties Ming et Qing 1420–1911.En plus d’explications sur l’architecture, l’histoire et l’art de la Cité, vous explorerez avec votre guide 14 endroits sélectionnés avec soin au sein de la Cité. Vous serez émerveillé par l’ancien style d’architecture chinoise, et par les histoire passionnantes sur la vie des empereurs. Cerise sur le gâteau notre guide vous montrera le seul bâtiment occidental inachevé dans la sur une tour de guet pour avoir un petit panorama de la Cité Interdite et découvrez les trésors des empereurs dans la maison du trésor. Une chance unique, là où les autres groupes n’accèdent généralement qu’à 6 sites !La Vie Locale de PékinLes Hutongs)Départ tôt ce matin pour la salle de gymnastique en plein air des chinois où vous serez les bienvenues pour vous joindre à leurs activités ! Après le sport typique, un tour dans le marché local vous permettra de connaître les différents légumes que vous ne trouvez pas en Europe. Découvrez ensuite un quartier très vivant avec ses maisons traditionnelles court yard dans les Hutongs. Contrairement aux autres agences, nous ne vous amènerons pas que dans les Hutongs touristiques. Nous visiterons également des Hutongs authentiques et anciens À vous de trouver les différences entre les Hutongs d’hier et d’aujourd’hui !La fameuse Place Tian’anmen où votre guide vous donnera des détails, tant architecturaux qu’historiques, sur cette place devenue mythique. Nous vous laisserons suffisamment de temps pour prendre de magnifiques parc Jingshan avec sa colline de charbon d’où vous aurez une première vue à couper le souffle sur les toits dorés de sur la Grande Muraille de MutianyuCette partie de la grande muraille est plus tranquille et moins fréquentée. Elle se situe à environ 1h ½ de voiture de Pékin. Et c’est en téléphérique que vous accèderez à une zone où vous pouvez marchez sur la Grande Muraille de Mutianyu et dans les Tours de Gué en profitant des superbes vues qui serpentent entre les montagnes et les collines. Vous allez redescendre en du Ciel littéralement l'Autel du Ciel est un complexe de bâtiments taoïstes situé dans la partie sud du centre de Pékin. C’était l’endroit où l'empereur priait pour une météo favorable et une bonne récolte. Le Palais d’Été et bateau dragon sur le lac Immense parc avec des pavillons aux couloirs peints de couleurs vives, des temples entre les étendues d’eau surplombées par des collines. Ce parc était à l’origine le lieu de repos estival de l’Empereur. Il est toujours aujourd’hui un bon endroit pour échapper à la chaleur en été. Le meilleur moyen d’admirer le Palais d’Eté est à bord d’un bateau dragon sur le lac mais cette option ne sera pas disponible en hiver car le lac sera gelé, ce qui vous permettra également d’admirer les ravissants palais sur les rives du lac pendant votre Shaolin Ce temple est enveloppé de mystère et de légende. L'origine des arts martiaux et de kung fu fait partie de la mystique du Temple Shaolin et des moines Shaolin. C'est probablement le plus célèbre temple en Chine, non seulement grâce à sa longue histoire et son rôle dans le bouddhisme chinois, mais aussi grâce à ses arts martiaux ou de Wushu. La forêt des pagodes Vous irez voir le cimetière des moines et profiterez des explications de votre guide pour découvrir pourquoi les pagodes sont en tailles différentes, quelle est la plus vieille pagode dans la forêt des pagodes – qui en contient plus de 240 - , et beaucoup d’autres secrets encore !Vous partirez pour Luoyang jusqu’aux grottes de Longmen et votre guide vous conduira jusqu’à l’iconique bouddha à la main en forme de V ». Vous aurez le souffle coupé par la profusion de sculptures bouddhistes qui s’étendent sur plus d’un kilomètre du nord au sud demandez à vos enfants de les compter, il y en a plus de 97000 !Ce site unique est considéré comme l’un des trois trésors en matière de sculptures en Chine. Vous visiterez ensuite le temple du Cheval Blanc, premier temple bouddhiste de Chine et berceau de cette religion. Vous pourrez comparer les différents styles de temple et deviendrez un véritable expert en la matière. Xi’an est le centre du projet des Nouvelles Routes de la Soie, et l’un des berceaux de la civilisation chinoise, avec 13 dynasties qui s’y sont succédées. C'est aussi une importante ville centrale de l'ouest de la Chine aujourd'hui, et notre point de départ pour cet itinéraire sur l’ancienne Route de la Soie !Sous la dynastie Qin, avant le développement de la Route de la Soie, le premier monarque chinois utilisant le terme empereur » pour se nommer a commandité dès l'âge de 13 ans le projet d’un tombeau royal incroyable se faire enterrer avec une armée de soldats en terre cuite ! Plus de 720 000 travailleurs et prisonniers ont travaillé sur ce projet pendant 39 ans La construction a été achevée en 208 avant Jésus Christ. Aujourd'hui, notre guide vous dévoilera les mystères des guerriers et des chevaux en terre cuite. De la fosse n°1 à la calèche en bronze, vous voyagerez à travers la Chine d’il y a 2000 ans. Après avoir appréhendé l'histoire de la dynastie Qin, nous vous emmènerons visiter les artisans de soldats et chevaux en terre cuite pour comprendre le processus de fabrication en réalisant votre propre petite figurine en de terminer la journée vous visiterez de la petite pagode de l’Oie Sauvage. Construite au XIème siècle sous la dynastie Tang, elle est devenue le symbole de la ville. Elle fut le grand centre de traduction des écrits bouddhiques. Initiez-vous à la calligraphie au pied de la pagode en apprenant à écrire vos nom et prénom en Chinois, grâce à un pinceau traditionnel trempé dans l’encre de Chine, encore une œuvre que vous serez fiers de rapporter en votre journée depuis la Tour de la Cloche et la Tour du Tambour. En peu plus à l'ouest se trouve la rue principale du quartier musulman. Ce quartier est l'un des symboles de Xi'an et l'un des lieux d'origine de la religion musulmane en Chine. Durant les dynasties Ming et Qing est apparue la configuration des "sept temples et treize lieux de prières", toujours d'actualité de nos jours. Dans ce quartier vous pourrez découvrir la vie authentique des locaux. Nous éviterons la rue principale du quartier musulman qui est très touristique, pour vous amenez dans les petites rues parallèles afin de découvrir un côté plus authentique. Vous dégusterez également plusieurs spécialités que les locaux mangent quotidiennement. À mi-chemin, vous visiterez la Grande Mosquée afin d'en découvrir les spécificités un petit repos vous allez prendre la route pour la visite du Musée provincial du shaanxi, l'un des premiers grands musées d'État en Chine avec des salles et Galeries consacrées aux objets ayant appartenu aux empereurs des dynasties Sui, Tang, Song, Yuan, Ming, Qing et bien d’autres encore avec une impressionnante collection de figurines exhumées et de bouddhas ; c’est un un veritable regal pour les amoureux de l’histoire ancienne de la balade à pied est au programme en fin d’après midi, pour visiter la muraille de la ville de Xi'an. Il s’agit de l’un des plus anciens systèmes de défense de la ville toujours en place, constitué de remparts, de portes et de nombreuses tours de À SAVOIR Plusieurs modes de transports entre Xi'an et Zhangye,voici ci-après les options plus confortables que nous avons Le Train de nuit 13h30le TGV 7h30 l'avion 2h05Pour les voyageurs qui ont un budget en service complet, nous choisissons l'avion qui permet un meilleur confort de trajet entre Xi'an et Zhangye. Sinon, pour les budgets un peu plus serrés et pour réduire les frais de voyage nous privéligions le train de nuit pour aller à Zhangye. Le train de nuit est aussi un meilleur choix pour ceux qui veulent profiter la ville de xi'an au maximun. La renommée mondiale de la Route de la Soie provient du couloir Hexi. Sans le couloir Hexi, il n'y aurait pas de Route de la Soie. Le couloir Hexi mesure environ 1200 kilomètres d'est en ouest, depuis la Crête de Wushao à l'ouest, jusqu'aux Gorges de Xingxingxia à l’ouest. Au nord se trouvent les montagnes Qilian et au sud et les montagnes Longshou, Heli et Mazhan. Situé à l'ouest du fleuve Jaune, il ressemble à un couloir, d’où son nom le couloir Hexi. À votre arrivée, vous aurez la chance de visiter le Parc géologique national de Zhangye Danxia. Les couleurs incroyables du relief de Zhangye Danxia se sont formées il y a 6 millions d'années et couvrent une superficie d'environ 510 kilomètres carrés. Il s'agit du seul endroit en Chine ou le relief Danxia se marie avec une zone composée de paysages vallonnés colorés. Ce parc a été classé parmi les sept plus beaux reliefs Danxia par le magazine China National Geographic ». Vous pourrez grimper sur plusieurs plates-formes d'observation pour admirer ce paysage unique et prendre de magnifiques clichés. Après cette visite, vous retournerez à Zhangye pour passer la nuit à l’ votre arrivée à Dunhuang, vous vous rendrez à la Montagne Mingsha et sa célèbre Source en Croissant de Lune. Vous pourrez monter à dos de chameau, glisser sur le sable ou gravir la Montagne Mingsha pour admirer la Source en Croissant de Lune entourée de sable mouvant. Si le ciel est dégagé, vous pourrez également profiter d’un magnifique coucher de soleil sur la Montagne Mingsha. Le soir, vous pourrez visiter le marché nocturne de Shazhou et goûter les spécialités le petit déjeuner, vous visiterez l'une des quatre plus grandes grottes de Chine les Grottes de Mogao. Il s'agit du site d'art bouddhiste le plus grand et le plus abondant au monde. Vous découvrirez le charme de ce trésor artistique millénaire laissé sur la Route de la Soie. Ici, vous pourrez découvrir l'immensité et la profondeur du bouddhisme, comme si vous aviez voyagé à travers le temps et l'espace pour atteindre les temps anciens. Admirez le savoir-faire et la sagesse des peuples anciens. Après le déjeuner, transfert en TGV vers la ville du raisin » le petit-déjeuner, vous vous rendrez au Village de Tuyugou Tuyoq, connu sous le nom de Terre sacrée du Xinjiang oriental et du blé ». Le Grand Canyon de Tuyugou est l'endroit le plus mystérieux de la région occidentale et c'est également le lieu de rencontre de nombreuses cultures et histoires religieuses célèbres dans le monde. Les grottes des Mille Bouddhas de Tuyugou en est un fort témoin. Le Village de Tuyugou, qui a été nommé célèbre village d'histoire et de culture chinoises », est le plus ancien village ouïghour du Xinjiang. Il a une histoire de plus de 1700 ans et conserve encore les plus anciennes coutumes folkloriques du peuple ouïgour. On peut parler de fossile vivant folklorique ». Retour à l'hôtel à midi pour se reposer afin d'éviter la température élevée du début d’ une courte pause, vous visiterez le Musée du Système d'Irrigation Qanat. Il s’agit d’un système d'irrigation spécifique des zones désertiques, et d’une spécialité de Tourfan. Le système d'irrigation Qanat, la Grande Muraille de Chine et le Grand Canal reliant Pékin à Hangzhou sont connus comme étant les trois grands projets de la Chine ancienne. Il y a plus de 1100 puits Qanat à Tourfan, pour une longueur totale d'environ 5000 kilomètres. En utilisant la pente de la montagne, les anciens ont habilement créé les puits Qanat pour irriguer les terres agricoles en tirant profit des courants souterrains. Dans la soirée, vous visiterez les ruines » les mieux conservées au monde la Vieille Ville de Jiaohe. La vieille ville de Jiaohe est la ville la plus grande, la plus ancienne et la mieux conservée du monde. C'est aussi la relique urbaine la plus complète préservée en Chine depuis plus de deux mille ans. Elle était le siège de l'ancienne chambre du roi de la division Che, l'un des 36 pays de l'ancienne région occidentale. La plus haute institution militaire et politique de la région occidentale de la dynastie Tang, Anxi Duhufu, a également été établie ici. C'était aussi l’une des villes les plus fréquentées sur l'ancienne Route de la Soie. Elle est aujourd’hui connue sous le nom de Pompéi Oriental ». Les Ouïgours sont très accueillants. Visitez leurs maisons traditionnelles, partagez leur nourriture et leurs boissons uniques et découvrez leur vie quotidienne et leurs coutumes. Suivez les indications de votre guide afin de respecter au mieux les coutumes locales. Tourfan est réputé pour la culture du raisin, c'est une source de revenus importante pour la population locale. Si vous venez entre juin et septembre, vous pourrez visiter un vignoble, et assister au séchage des raisins. Vous pourrez vous promener dans la ferme et parler à la population locale pour en apprendre plus sur leur vie quotidienne. Il y a plusieurs lacs nommés Lac Céleste» en Chine, le plus beau est le Lac Céleste du Xinjiang 新疆天池. Situé à environ deux heures de route de la capitale Ürümqi, le Lac Céleste offre une vue panoramique sur les montagnes. Une escapade parfaite pour échapper à la pollution et au bruit de la prendrez tout d’abord la navette jusqu’à un point de vue sur le lac très fréquenté par les touristes, puis notre guide vous amènera vers un petit sentier afin d’éviter les touristes et vous approchez au plus près du lac ! Ürümqi est la capitale de la région autonome ouïgoure du Xinjiang, qui signifie beau pâturage» en mongol. C'est la ville la plus éloignée de l'océan sur cette terre. Aujourd'hui, nous prendrons l'avion d'Urumqi à Shanghai en avion, le dernier arrêt de l’itinéraire qui s’avère être une ville majeure de l'ancienne et de la nouvelle Route de la n’est pas seulement la route commerciale la plus ancienne du monde, mais aussi une route d'art et de culture. Nos excursions privées offrent un rythme décontracté et flexible adapté à chacun où vous découvrirez l'histoire, les reliques culturelles, les minorités ethniques, le paysage et l'interaction locale tout au long du voyage. Avec nos guides touristiques locaux et un programme exclusif, vous serez plongé au cœur de cette route si votre visite par le fameux Bund pour admirer le contraste entre l’architecture de chacune des rives l’une ultramoderne et l’autre classique. Nous vous ferons entrer dans l’un des somptueux monuments classés pour en découvrir tous les secrets, là où les autres agences se contentent d’un aller-retour le long de la vous emmènerons ensuite dans l’immanquable quartier traditionnel de Shanghai le Jardin Yu. Nous vous mettrons au défi d’y découvrir les 5 dragons protecteurs des lieux. À l’issu de cette visite, vous profiterez d’un temps libre pour arpenter les bazars et y dénicher les souvenirs de vos rêves aimants, baguettes, biscuits, bijoux, figurines…vous trouverez forcément votre votre visite par l’ascension de l’une des tours de Shanghai afin de profiter d’une vue d’ensemble sur la ville. Vous pourrez choisir de monter dans la tour que vous préférez il en existe 4 dotées de vue panoramique.En soirée, après votre dîner, notre guide vous accompagnera jusqu’à l’aéroport international de Shanghai en véhicule privé. Une fois à l’aéroport, il vous aidera pour le check-in et les bagages. Fin de nos Carte du CircuitSuggésion d'itinéraireNotes du VoyageCréer votre voyageAll you need to do is the rest to us!Your wish is our command... NOTE DE VOYAGE1. Extension du circuitKachgar 3 Jours supplèmentaires — Pour traversez le Plateau du Pamir et son bazaar du dimancheKachgar en voiture 8 Jours supplèmentaires — Pour traversez Traversez la route du désert de Taklamakan et découvrir l'ancien état de et Hangzhou 2 à 3 jours supplèmentaires— Promenades dans les jardins classiques, lac de l'ouest, et les villages d'eauxChengdu 3 à 4 Jours supplèmentaires —visite du centre des recherche des Pandas géants, le Buddha géant, Mt. Emei, le programme des bénévolats des pandas, etc. Choisir selon vos centres d'intérêts!2. Condition d'hébergementDifférents types d’hébergement sont possibles dans les grandes villes chinoises, tels que les grandes chaines d’hôtels 5 étoiles, des hôtels 4 étoiles idéalement situés, ou de petits hôtels de charme dans le style régional. Peu importe vos préférences, nos agents sauront trouver l’hébergement qui vous partie ouest de la Chine, en particulier le Xinjiang, appartient à une zone de contrôle spéciale du gouvernement. Peu d'hôtels peuvent recevoir des clients étrangers et le nombre d'étoiles locales ne répond pas aux normes européennes. Afin d'assurer le confort des touristes, en particulier après un long voyage en voiture, nous choisissons au moins des hôtels locaux 4 étoiles ou supérieur. 3. Les RepasDe part les conditions naturelles des destinations touristiques et le développement moins avancé dans la région de l'Ouest de la Chine comparé au centre et à l’est, les conditions de restauration ne sont pas excellentes. Mais nous faisons de notre mieux et sommes en contact avec de nombreux restaurants, afin de répondre au mieux aux besoins de nos clients. L’Islam étant une religion importante dans le sud du Xinjiang, vous ne trouverez pas de porc au menu. Nous sommes là pour vous aider... commencez à créer votre voyage sur mesure avec notre expert. Créer votre voyage

berceau de la route de la soie du sud