Cérémoniede mise en terre des cendres de la Cde Marie-Jeanne Pinard (1928-2020) Je tiens en mon nom, Colonel retraité Georges Rousseau, du Corps blindé royal canadien, rendre hommage à Marie Jeanne une grande pionnière
Lacérémonie peut se faire également en dehors de la messe. Dans ce cas, le rite est précédé par la liturgie de la parole et la célébration se conclue par la prière universelle. 3. Imposition des cendres sur la tête . Ce geste est fait pas seulement sur le front comme c'est habituel, mais parfois sur le dessus de la tête et les cheveux. (voir images) L'ancien rituel dit qu'elle se
Nousassurons l'ensemble de la cérémonie de A à Z lors de l'enterrement. Le corps du défunt sera transporté jusqu'au lieu d'inhumation choisi. Nous assurons l'ensemble de la cérémonie de A à Z lors de l'enterrement. Accueil; À propos; Organisation d'obsèques. Démarches administratives; Transport du défunt; Inhumation; Crémation; Contrat d'obsèques; Marbrerie et
Organisationdes cérémonies civiles ou religieuses; Prise en charge de la famille et du défunt selon mode de sépulture : Inhumation ou Crémation L'après obsèques. Conception, réalisation et édition de faire-parts et de cartes de remerciements; Aide aux démarches administratives après obsèques; Fleurissement entretien de sépulture; L'inhumation : pleine terre ou caveau. La
Aprèsavoir touché la terre en hommage à Thay dans la salle de l’Eau Tranquille, la sangha a chanté “Je suis chez moi, je suis arrivé”. La cérémonie s’est poursuivie avec les sœurs apportant une partie des cendres de Thay au Hameau du Bas et au Hameau Nouveau. Les urnes ont été réparties dans les temples des différents
Cérémoniede la mise en terre des cendres du grand Patriote Gilles Rhéaume décédé le 8 février 2015. Les restes de Gilles Rhéaume seront inhumés au cimetière Notre-Dame-des-Neiges, samedi le 15 septembre 2018, à 14 h, au Monument Ludger-Duvernay. La cérémonie est organisée par la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal.
. Parmi ceux qui choisissent la crémation, tous ne désirent pas forcément voir leurs cendres répandues au Jardin du Souvenir, dans la nature ou la mer. Beaucoup désirent que leurs restes soient placés dans un espace identifié et aménagé à leur convenance, où leurs proches pourront venir se recueillir. Est-ce envisageable ? Quelles sont alors les options possibles ? Comment procéder ? Il faut se souvenir que, depuis la loi de décembre 2008, les cendres ont le même statut qu’un corps et doivent être traitées avec bienveillance Le respect de la personne, prévu au Code civil à articles 16-1 et suivants, s’applique aux cendres contenues dans l’urne ». Urne et cercueil sont donc envisagés de la même façon. Aussi il existe plusieurs options pour accueillir les cendres le columbarium, le cavurne, la tombe cinéraire, le placement de l’urne dans une tombe préexistante, l’inhumation en terrain privé. Le columbarium C’est la première solution envisageable. Le columbarium désigne une construction collective, faite de plusieurs dizaines de cases disposées en muraille ou en colonne il existe d’autres agencements plus fantaisistes, qu’on peut louer via une concession temporaire, et où on peut ensuite placer plusieurs urnes, de une à quatre suivant la taille du réceptacle. Selon la loi de décembre 2008 redéfinissant la législation funéraire, toute commune de plus de 2000 habitants doit en disposer. Ce type de sépulture suppose des impératifs C’est le maire qui délivre l’autorisation d’en jouir. La plaque qui ferme la case doit être en marbre, en granit ou en pierre, obligatoirement étanche, et apposée par un opérateur funéraire assermenté. Les inscriptions et les décorations qui l’ornent citations, médaillons, … doivent être approuvées par la mairie. On y trouvera le nom du défunt, les dates de naissance et de mort, la référence officielle de l’emplacement. Chaque case fait l’objet d’une concession payante, dont la durée est déterminée par le conseil municipal. Pour une concession de 15 ans, il faut budgéter environ 500 euros, 800 euros en moyenne pour une durée double. Arrivée à terme, la concession peut être renouvelée, ou close. Il faudra lors déplacer les cendres dans une autre sépulture. Le cavurne Contrairement au columbarium qui regroupe les urnes de familles différentes, le cavurne présente l’avantage d’être spécifique et isolé. Également désigné comme un caveautin, il se présente comme une case de béton de 50 centimètre de côté placée en terre. Il fait l’objet d’une concession cinéraire délivrée par la mairie. Un contrat de 15 ans est évalué à 250 euros en moyenne, ce qui inclut le caveau et son emplacement, et s’avère moins cher qu’une case de columbarium. On y ajoutera les frais correspondant à la mise en place d’une plaque funéraire, d’une stèle si on le désire et d’une cérémonie d’inhumation. L’ornementation est très variée, quant à la matière et à la couleur du monument placé sur le cavurne, aux plantes et fleurs qu’on peut y placer, aux inscriptions et décors qu’on peut y apposer là aussi, il faudra l’aval du maire. Ces éléments et services vont bien sûr augmenter la facture du simple au double, suivant l’opérateur. Il convient donc de comparer les devis avant de se décider certains peuvent dépasser les 700 euros, pour peu qu’on ait voulu un monument rutilant, un décor somptueux. La tombe cinéraire Dans ce cas, il s’agit de placer l’urne en pleine terre, dans un jardin cinéraire notamment, un jardin d’urnes ou une concession préexistante, cinéraire ou classique pour 15 ou 30 ans généralement. On peut aussi la placer dans un emplacement gratuit, cela pour une durée de cinq ans ensuite il conviendra de conclure une concession payante. Ce type de sépulture se caractérise par sa discrétion ; elle ne sera repérable que par une simple plaque de dimension réduite en inox ou en laiton, à fixer dans le sol pour éviter qu’elle ne bouge, où figure le nom du défunt, ses dates de naissance et de décès, les coordonnées de l’emplacement. On optera pour une urne non dégradable en inox ou en PVC, afin qu’elle puisse être exhumée sans dommages si la concession n’est pas renouvelée ou si la famille décide de la déplacer. Urnes-tombes et mini-tombes sont tout à fait adaptées car faciles à positionner et d’un prix raisonnable ; on peut y glisser une ou plusieurs urnes suivant les modèles. Il est aisé pour un particulier de positionner soi-même l’urne-tombe, pour peu qu’un représentant de la mairie soit présent au moment de l’opération. Il est tout à fait possible d’ajouter des ornementations végétales autour de la plaque. La tombe familiale classique Les cendres peuvent également rejoindre une tombe classique déjà érigée, pleine terre ou caveau, ainsi qu’un enclos familial. Il faut alors prendre en compte deux points importants vérifier que le défunt est autorisé à être placé dans cette concession, collective ou familiale prévoir les frais d’ouverture de la tombe. S’il s’agit d’une tombe en pleine terre, il faudra envisager la construction d’un cavurne au-dessus des cercueils pour y préserver les urnes ; elles peuvent aussi être placées dans des anneaux de béton qui en assureront la stabilité. Dans un caveau, on placera les vases dans le vide sanitaire qui se trouve entre les bières et la dalle. Dans tous les cas, il convient de protéger les urnes de la dégradation, afin de pouvoir le cas échéant extraire les cendres intactes. Si ce type de pratique ne suppose pas de taxe de superposition contrairement à l’inhumation d’un nouveau cercueil, il faut néanmoins prévoir le coût des travaux à effectuer qui peuvent s’élever à plusieurs centaines d’euros. On peut aussi faire sceller l’urne sur la tombe même. Il convient alors de choisir un réceptacle solide et étanche, capable de résister aux coups, aux intempéries et à d’éventuels actes de malveillance. On privilégiera le granit. Le terrain privé Une urne cinéraire peut par ailleurs être placée en terrain privé, en pleine terre ou en cavurne. Comme pour une tombe classique, il faudra obtenir l’autorisation préalable de la préfecture, remplir les conditions d’hygiène requise, et laisser l’accès aux familles désireuses de se recueillir sur la sépulture. Rappelons qu’il est interdit de conserver les cendres d’un proche chez soi.
© Adobe StockL'inhumation correspond à l'enterrement au cimetière. C'est la pratique la plus répandue en le verbe "inhumer " est composé des mots latins "in" qui signifie "dans" et "humus" qui signifie "terre". Ce terme désigne donc la mise en terre du corps d'un défunt. "Elle peut se dérouler dans le cadre d'une cérémonie laïque ou religieuse" précise Marie-Thérèse Ferreira De Moura, conseillère funéraire aux Pompes Funèbres dans l' du décès "Quand la personne décède dans une clinique, les pompes funèbres sont obligées de faire un transfert de corps avant la mise-en-bière et de déposer le corps dans une chambre funéraire poursuit notre interlocutrice. Si la personne décède au centre hospitalier, ce n'est pas une obligation de la placer en chambre funéraire, le défunt peut rester à la morgue du centre hospitalier."Les soins de conservation ne sont pas obligatoires à la morgue du centre hospitalier, ni dans la chambre funéraire. Ils sont effectués par un thanatopracteur. "Si la famille ne souhaite pas faire appel à un thanatopracteur et que les pompes funèbres estiment que l’opération est nécessaire car le corps est en mauvais état, l’organisme doit faire signer une décharge à la famille" indique la conseillère. La housse imperméable éventuellement utilisée pour envelopper le corps avant sa mise-en-bière est fabriquée dans un matériau biodégradable. Elle doit répondre à des caractéristiques de composition, de résistance et d' mise-en-bière D'après le code général des collectivités territoriales, la mise-en-bière est obligatoire. "Cette opération est effectuée par les pompes funèbres, on place le corps d'un défunt dans sa bière, c'est-à-dire son cercueil, avant sa fermeture puis la levée du corps. La famille choisit l'entreprise de son choix pour procéder à celle-ci." En caveau familial ou pas "L’inhumation doit être faite dans le caveau familial. S'il n'y en a pas alors l’enterrement sera fait dans le cimetière le plus rapproché du domicile de la personne la plus proche du défunt. En général, l'inhumation a lieu dans un cimetière communal mais peut également être faite sur une propriété privée, à condition d'être hors de l'enceinte des villes et des bourgs et, à la distance prescrite, après avis d'un hydrogéologue agréé. La famille choisit si le défunt est enterré en caveau ou non. Pour la dernière étape, la famille du défunt doit choisir le monument qui sera posé par le marbrier au-dessus de la tombe." Il n'est admis en principe, qu'un seul corps dans chaque cercueil. Cependant, l'article du code général des collectivités territoriales autorise deux exceptions, à savoir que peuvent être placés dans un même cercueil, les corps de plusieurs enfants mort-nés de la même mère ou ceux d'un ou plusieurs enfants mort-nés et de leur prix "Pour une inhumation avec cercueil, il faut compter entre 2500 et 5000 euros."- Les funérailles ne peuvent avoir lieu qu'après la mise-en-bière du corps, en sorte qu'il n'est pas possible que le défunt soit porté visage découvert à l'église ou au L'inhumation des animaux de compagnie ou domestiques dans un cimetière communal est interdite, comme dans une sépulture située en terrain privé, dès lors que ces lieux de sépulture sont réservés à l'inhumation crémation de plus en plus choisie© Adobe StockMarginale en 1980, où elle concernait moins d’1% de la population, la crémation était choisie en 2013 pour plus de 33 % des obsèques et devrait atteindre les 50 % d'ici 15 ans. Ce qui en fait la deuxième pratique la plus répandue en la crémation est une technique funéraire visant à brûler et réduire en cendres le corps du défunt. Les motivations sont diverses écologiques, philosophiques, sociologiques ou encore préalable "La personne avant son décès peut faire un contrat obsèques dans l'entreprise de pompes funèbres de son choix, en précisant toutes ses volontés. Par exemple, elle doit préciser si elle souhaite la dispersion de ses cendres au jardin du souvenir, à la mer, ou encore dans un bois. Les pompes funèbres sont dans l'obligation de préciser le lieu de dispersion sur un formulaire qui sera donné à la mairie" explique Marie-Thérèse Ferreira De Moura, conseillère funéraire aux Pompes mise-en-bière est obligatoire avant la choix possibles - Disperser les cendres "Si le défunt a fait part de sa volonté pour la dispersion des cendres, elle sera effectuée dans des espaces collectifs prévus à cet effet, aménagés dans un cimetière ou sur un site cinéraire. Les cendres pourront également être dispersées en pleine nature, à l’exception des voies publiques”. Avant de poursuivre "Le premier prix pour une dispersion de cendres avoisine les 1230 euros. S’il y a crémation et dispersion des cendres, il est possible de faire la cérémonie au crématorium où le corps a été crématisé."- Inhumer les cendres "Si les proches souhaitent conserver les cendres, ils peuvent opter pour un espace collectif appelé le columbarium. Cet endroit est aménagé dans un cimetière ou sur un site cinéraire, il se compose de cases individuelles destinées à accueillir une ou plusieurs urnes. Egalement, il existe des espaces privatifs pour conserver les cendres, l'urne peut être inhumée dans une tombe, dans une sépulture cinéraire, en pleine terre ou dans un caveau spécifique. Elle peut aussi être scellée sur un monument existant." La conseillère ajoute "Une crémation avec inhumation dans un caveau familial coûte plus cher qu'une simple inhumation. Les proches devront choisir si la cérémonie sera religieuse, à l’église la plus proche du domicile, ou si elle sera civile, c’est-à-dire au cimetière de l'inhumation."La dispersion des cendres en mer D'après le code général des collectivités territoriales, la dispersion des cendres cinéraires en mer est autorisée si elle respecte la réglementation maritime française et si elle est effectuée à plus de 300 mètres de la côte. En revanche, elle est interdite dans une rivière, un fleuve ou un cours d’ les cendres ne sont pas récupérées par les proches, le crématorium les conserve au maximum 12 ou crémation ? Le terme incinération est un abus de langage, on l'utilise à tort, on incinère des déchets, on crématise des la crémation par l'eau© Adobe StockCette technique est une alternative écologique à la crémation. Elle n'est pas autorisée en France, mais est légale en Australie, au Québec et dans 15 Etats l'aquamation propose un procédé reposant sur l’eau. Scientifiquement appelée "hydrolise alcaline", cette opération aboutit à un résultat similaire à celui de la crémation, à savoir la réduction de la dépouille en lors d'une hydrolyse alcaline, le corps est déposé dans l'appareil d'aquamation. En combinant chaleur et alcanalité à une eau en circulation, on accélère ainsi le processus d'hydrolyse des tissus. À la fin du processus, le corps est retourné à la nature par dissolution aqueuse. N'oubliez pas que notre corps est composé à 65% d'eau ! Les seuls restes solides sont les ossements qui sont ensuite remis aux familles sous forme de cendres poussières d’os, tout comme lors d’une crémation. Plus précisément, l’aquamation utilise une cuve remplie d’eau chauffée à 93°C. Celle-ci contient un excès d’éléments chimiques des carbonates et des hydroxydes qui va permettre l’accélération du phénomène de décomposition du corps. L’aquamation dure en moyenne 4 à 10 heures selon le poids du corps. A la fin du procédé, seuls les os subsistent. Ces résidus osseux sont alors broyés, de la même manière que dans le cadre d’une incinération, et placés dans une urne remise aux proches du technique écologique l’eau de la cuve peut également être récupérée et utilisée comme un fertilisant. En effet, elle est riche en matière organique, dépourvue de produits polluants et exempte de toute trace d’ADN, qui a été détruit par le procédé. Cette technique consommerait 10 fois moins d’énergie que la crémation. De même, "puisque la crémation par l’eau n’utilise pas le procédé de combustion, elle est respectueuse de l’environnement et ne produit ni gaz toxiques ni polluants de l’air", selon la Mayo Clinic dont le centre du Minnesota Etats-Unis utilise cette technique à des fins de larésomation il existe une variante légèrement plus énergivore mais deux fois plus rapide que l'aquamation. Il s’agit de la "larésomation", qui nécessite une eau entre 150 à 180°C avec une mise sous pression. Elle reste cependant plus écologique que l’incinération qui requiert une température de 850° savoir en Europe, cette technique n’est utilisée que dans les milieux vétérinaires en cas d’épidémie pour éliminer tous les virus ou bactéries qui auraient contaminé les animaux mundi quand le corps du défunt sert de fertilisant© Adobe StockUne alternative très écologique pour les obsèques puisque le corps du défunt sert de fertilisant. Un projet culturel qui envisage une approche différente de la "Capsula mundi" est une capsule en forme d'oeuf faite exclusivement de matériaux biodégradables comme du bioplastique, un plastique capable de se biodégrader rapidement. Le concept a été imaginé par deux designers italiens, Anna Citelli et Raoul on place le défunt en position foetal à l'intérieur de la coquille, ou bien ses cendres après crémation, puis on l’enterre. Il suffit ensuite de parsemer des graines ou de planter un arbre au-dessus. L’a rbre aura été préalablement choisi par le défunt et servira de mémorial. La plante viendra puiser dans les nutriments libérés par le corps en décomposition pour sa croissance. Le projet baptisé a pour but de remplacer les cimetières jonchés de pierres tombales par de vraies forêts savoir Capsula Mundi est toujours à l'état de projet à l'heure actuelle. Depuis 2004 en France, il existe un parc funéraire nommé les Arbres de mémoire. Situé en Maine-et-Loire, il propose de déposer les cendres d'un défunt au cœur des racines d'un arbre choisi les soins de conservation pour la présentation du corps© Adobe StockCette technique est un soin de conservation qui n’est pas obligatoire en France, elle l’est seulement dans le cas de rapatriement à l’étranger dans certains cette opération, pratiquée par un spécialiste, consiste à prolonger la conservation du défunt et à lui rendre des traits apaisés lors de la présentation du corps. Autrefois, les techniques de conservation des corps étaient regroupées sous le terme d'embaumement. Ce procédé a vu le jour au cours de la guerre de Sécession, dans laquelle de nombreux soldats sont morts au combat, loin de leurs familles. Les familles des défunts voulaient un enterrement où les cercueils seraient ouverts pour que leurs proches puissent les voir une dernière fois et aussi puissent les les soins se déroulent intégralement sur une table mortuaire. Le praticien commence par enlever au défunt ses vêtements et autres effets personnels. L'étape suivante est le lavage externe du corps, à l’aide de solutions désinfectantes. Puis, les yeux et la bouche sont refermés, afin de reproduire une expression aussi détendue que possible. Dans ce même but, le thanatopracteur peut raser, coiffer, et maquiller le défunt. Ensuite, un liquide biocide de six à dix litres, généralement composé de formol, est injecté dans une artère, pour prévenir la décomposition du défunt. Un deuxième produit chimique est introduit par les différentes cavités du corps pour préserver les organes cavitaires. Si le corps est gravement déformé, on peut compléter le processus par un embaumement de surface. En cas de rapatriement l’Arabie Saoudite et d'autres pays exigent que la thanatopraxie soit administrée aux défunts qui arrivent sur son sol. Il est également possible que la compagnie aérienne chargée du transport du corps impose la thanatopraxie. Avant de prendre sa décision, il convient donc d’être informé des lois de l’Etat dans lequel le corps sera rapatrié, ce qui peut se faire auprès du consulat du obligations en France Avant 2011, les soins de conservation étaient imposés par la loi française en cas de transport du défunt entre 24 et 48 heures après sa mort, ou sur une distance de plus de 600 kilomètres. Cependant ces impératifs ont été levés. S’il est toujours possible de déplacer le corps jusqu’à 48 heures après le décès, les soins funéraires n’ont plus rien d’obligatoire sur le territoire en mer, interdite en France© Adobe StockParmi les rites funéraires non autorisés en France, on compte l'immersion en Autrefois, lors d'un décès en haute mer à bord d'un navire, les marins avaient pour habitude de procéder à l'immersion du corps dans la mer ou l'océan. Cette pratique s'explique par le fait que les bateaux n'étaient pas équipés de dispositifs permettant de conserver les corps jusqu'à l'arrivée à un légale Lorsque le décès s'est produit à bord d'un navire au cours d'un voyage, l'entrée du corps en France s'effectue au vu de la déclaration maritime de santé établie par le capitaine du navire et contre-signée, le cas échéant, par le médecin du bord. Dans ce cas, le corps est placé dans un cercueil hermétique puis rapatrié vers la France.
Les cendres de Thich Nhat Hanh, moine zen enseignant la pleine conscience », seront dispersées dimanche 13 mars au monastère du Village des Pruniers qu’il a fondé en Dordogne. Cette journée ponctuée de diverses cérémonies marquera le 49e jour de son décès au Vietnam, un jour important dans les traditions bouddhistes celui de la renaissance sous une nouvelle forme du défunt. Le samedi 5 mars, les disciples monastiques et laïcs du moine Thich Nhat Hanh affectueusement dénommé Thay se sont rassemblés au Hameau du Haut pour accueillir le retour du Vietnam d’une partie de ses cendres. Les moines et les nonnes vêtus de la robe sanghati ont mené la procession en silence, faisant des pas en pleine conscience au son des cloches et des tambours de cérémonie. Après avoir touché la terre en hommage à Thay dans la salle de l’Eau Tranquille, la sangha a chanté “Je suis chez moi, je suis arrivé”. La cérémonie s’est poursuivie avec les sœurs apportant une partie des cendres de Thay au Hameau du Bas et au Hameau Nouveau. Les urnes ont été réparties dans les temples des différents hameaux du village des Pruniers, entre Thénac, Loubès-Bernac 47 et Dieulivol 33. Dimanche 13 mars cérémonies de la renaissance Dimanche, au 49e jour du décès, temps nécessaire dans la tradition bouddhiste pour que le défunt renaisse sous une nouvelle forme, les cendres de Thich Nhat Hanh décédé le 22 janvier au Vietnam, où il s’était retiré, seront dispersées à Thénac, au hameau du Haut, sur la colline des Bouddhas, où il aimait s’asseoir et prendre une tasse de thé. Engagé de tout temps contre la guerre et contre la Souffrance, Thich Nhat Hanh avait pour la Paix ces mots "Si nous voulons la paix, nous devons être la paix. La paix est une pratique, pas un espoir". La communauté invite sur sa page Facebook à une retraite en ligne du 11 au 13 mars pour "générer ensemble l’énergie collective de la paix" en sa mémoire. Vous pourrez également suivre les cérémonies du dimanche 13 en direct via YouTube Cérémonie d’invitation pour les cendres de Thay 0930 CET Méditation marchée et dispersion des cendres de Thay à la colline des Bouddhas 1130 CET Célébrer la vie de Thay en musique et en poésie 2000 CET Et pour en avoir la traduction en français, veuillez cliquer sur ce lien zoom Meeting ID 979 4223 8768 Passcode freedomIllustration Les cendres de Thay arrivent au monastère du Village des Pruniers en France - Crédit photo Village des pruniers.
Accueil Aube Troyes et agglo Le crématorium de Troyes enregistre une activité croissante, ces dernières années. Le point sur le devenir des cendres après crémation. Article réservé aux abonnés Article réservé aux abonnés Pour lire la suite de cet article Abonnez-vous à partir de à notre offre articles. Sans engagement de durée. En profiter Vous êtes déjà abonné ou inscrit ? Connectez-vous Le fil info 19h29 France-Monde Les subventions accordées aux chasseurs sont passées de 27 000 à 6,3 millions d’euros en moins de cinq ans 18h51 France-Monde Ukraine nouvelle attaque au drone contre un état-major de la flotte russe 18h18 France-Monde Trains, bus, métros… Le Royaume-Uni paralysé depuis trois jours par une grève historique 17h43 France-Monde Douze ans plus tard, la Grèce sort enfin de la surveillance renforcée de l’UE 16h46 France-Monde Emmanuel Macron se rendra en Algérie du 25 au 27 août pour renouer une relation bilatérale» Voir tout le fil info
Inhumation des cendres ou dispersion Les cendres peuvent être inhumées ou dispersées. Il était possible avant 2008 de conserver les cendres au domicile, une loi récente a changé ce point. Il est également interdit de partager des cendres. La famille du défunt a désormais le choix entre inhumer l’urne qui contient les cendres dans un espace cinéraire ou bien les disperser. Le choix de l’une ou l’autre de ces options peut se faire en fonction des volontés du défunt ou de ses proches. S’il a été décidé d’inhumer les cendres funéraires, on peut placer l’urne cinéraire dans une case de columbarium ou encore inhumer directement l’urne dans une cavurne ou une tombe. Pour chacun de ces options, une demande d’autorisation doit être faite préalablement auprès du maire de la commune dans laquelle se situe le columbarium ou le cimetière. Le columbarium est spécialement prévu pour recevoir les cendres. Ce monument cinéraire est souvent constitué de granit et composé de cases individuelles. Chacune de ses cases peut accueillir une ou plusieurs urnes. Ces lieux permettent le recueillement et les familles peuvent y organiser une cérémonie d’adieu au défunt si elles le souhaitent. Cette cérémonie est tout à fait libre et chacun peut la personnaliser. Cérémonie autour de la dispersion des cendres La dispersion des cendres est une pratique de plus en courante. Les lieux de dispersion autorisés sont mentionnés dans la loi de 2008. Les cendres peuvent être dispersées dans le jardin du souvenir d'un cimetière ou du crématorium, ou en pleine nature mer, air, terre. Il n’est pas légal de disperser les cendres dans les lieux publics et cela est passible d’une amende. Les cendres peuvent donc être dispersées dans les bois et forêts, montagnes ou encore la mer. Toute dispersion des cendres nécessite également une demande auprès du maire de la commune de naissance du défunt dans le cas d’une dispersion terrestre ou d’origine du disparu et des services de la ville du lieu choisi pour la dispersion si dispersion marine. Les mairies consignent l’identité du défunt, la date et le lieu de dispersion des cendres pour permettre aux proches du défunt de venir s’y recueillir quand ils le souhaitent. La date de la cérémonie est également notée. La dispersion dans les airs ne fait l’objet d’aucune législation. Si l’inhumation est souvent précédée d’une cérémonie permettant de saluer la mémoire du défunt, cette démarche n’est pas systématique lorsque la crémation a été choisie. Il est des devoirs du maire de rappeler l’importance du travail de mémoire et du souvenir dans le cas d’une dispersion des cendres. Le jardin du souvenir, lieu de recueillement Le jardin du souvenir est un espace collectif. Cet endroit est souvent délimité par des bordures et les cendres y sont respectées de la même manière que les corps dans les tombes. Les jardins du souvenir contiennent obligatoirement un dispositif qui permet de mentionner l’identité des disparus, cela peut être une stèle du souvenir ou un livre du souvenir. Ce dispositif permet de préserver la mémoire du défunt. Le jardin du souvenir permet d’accueillir la famille et les proches lors de la cérémonie d’adieu au défunt. La famille peut enfouir les cendres ou les disperser directement dans le jardin du souvenir. Cet espace est souvent sobre pour permettre une dispersion des cendres en toute dignité. La famille peut se rendre quand elle le souhaite dans le jardin du souvenir pour s’y recueillir. On y trouve souvent des symboles qui créent un environnement apaisant et propice au recueillement galets, eau, … Un ministre officiant peut faire une cérémonie et une homélie avant la dispersion des cendres. La famille et l’entourage sont libres de prévoir et d’organiser cette cérémonie s’ils le souhaitent. Des fontaines, souvent symboliques, se trouvent dans les jardins du souvenir et permettent le bon fleurissement des plantes, ce qui offre aux proches un lieu dans lequel il est agréable de se rendre. Il est souvent important pour les proches de pouvoir accéder à un lieu de recueillement, ce que permet tout à fait le jardin du souvenir. Dans le cas d’une inhumation des cendres tout comme dans le cas où les cendres sont dispersées, il est important de prendre un moment pour se recueillir et se souvenir du défunt.
cérémonie de mise en terre des cendres