NEWYORK 1997. Avec Kurt Russell, Lee Van Cleef, Ernest Borgnine, Donald Pleasence, Isaac Hayes. En 1997, Manhattan est devenu une immense prison ghetto où vivent, en micro-société, trois millions de prisonniers. Victime d’un attentat, l’avion du Président des États-Unis s’écrase en plein Manhattan avec des documents ultra-secrets. Fortde son succès à sa sortie en 1981, New-York 1997 Au casting, nous retrouvons Kurt Russell, Lee Van Cleef, Ernest Borgnine ou encore Donald Pleasence Sorti en 1987, Prince des LeeVan Cleef est mort d'une crise cardiaque le 16 décembre 1989 à Oxnard en Californie, il repose au cimetière du Forest Lawn Memorial Park des collines d'Hollywood à Los Angeles en Californie. Lire plus Lire moins Filmographie de Lee Van Cleef . Speed zone ! (1989) un film de Jim Drake. La course du Cannonball déclarée illégale par les autorités a bien failli Regardezla bande annonce du film New York 1997 (New York 1997 Bande-annonce VO). New York 1997, un film de John Carpenter CinémaRennes : New York 1997 - Dans un futur indéterminé. Isolée du reste du monde, la ville de New York est devenue un gigantesque pénitencier. Des fortifications et une surveillance constante empêchent ses quelque trois millions Rennes . Rennes Fougères Vitré Saint-Malo Redon Autres villes . S'inscrire Se connecter Mon compte Maville. Mon NewYork 1997 Blu-ray. John Carpenter (réalisateur) Avec Kurt Russell, Lee Van Cleef, Donald Pleasence fnac+. En 1997, Manhattan est devenu une immense prison ghetto où vivent, en micro-société, trois millions de prisonniers. Victime d'un attentat, l'avion du Président des Etats-Unis s'écrase en plein Manhattan avec des documents ultra-secrets. . New York 1997 Escape From New York Avec Kurt Russell, Lee Van Cleef, Ernest Borgnine Année 1981 Durée 1 h 49 minutes Genre Fantastique US Titre original Escape From New York / Couleur / Dolby / Dans un 1997 dystopique où l'île de Manhattan, arrondissement de la ville de New York, est devenu un pénitencier, un redoutable criminel est chargé en vingt-quatre heures de sauver le Président des États-Unis, coincé là-bas, d'une mort atroce. John Carpenter a écrit le scénario de New York 1997 en 1976 dans la foulée du scandale du Watergate. Aucun studio n'en voulait parce que, selon Carpenter, il était trop violent, trop effrayant, trop bizarre ». Il a également été inspiré par le film Un justicier dans la ville, qui était très populaire à l'époque. Il n'était pas d'accord avec la philosophie de ce film, mais a beaucoup aimé la façon dont il transmet la sensation que New York est une sorte de jungle et voulait faire un film de science-fiction dans ce personnages Cronenberg et Romero sont des hommages aux réalisateurs David Cronenberg et George A. Romero. Réalisateurs Acteurs, personnages Kurt RussellSnake Plissken Lee Van CleefBob Hauk Donald Pleasancele Président des États-Unis Ernest BorgnineCabbie, le chauffeur de taxi Isaac Hayesle Duc de New York Harry Dean StantonHarold Brain » Helman Adrienne BarbeauMaggie Tom AtkinsRehme Charles Cyphersle secrétaire d'État Frank DoubledayRomero John StrobelCronenberg Ox BakerSlag George Buck FlowerL'ivrogne Jamie Lee Curtisla narratrice John DiehlPunk Production ScénarioJohn Carpenter, Nick Castle Directeur de la photographieDean Cundey, George D. Dodge MontageTodd C. Ramsay DécorsJoe Alves Décoration de plateauCloudia Rebar CostumesStephen Loomis ProductionAVCO Embassy Pictures, International Film Investors et Goldcrest Films International Producteur associéBarry Bernardi Directeur de productionAlan Levine MusiqueJohn Carpenter et Alan Howarth DistributionSplendor films Fiche Technique Escape from New York 1981 réalisé par John Carpenter Avec Kurt Russell, Lee Van Cleef, Ernest Borgnine, Isaac Hayes, Harry Dean Stanton Titre français New York 1997 Durée 98 mn Genre Action, Science-fiction, Thriller Blu-ray testé Région B édition française Pistes Audio Anglais DTS-HD Master Audio Français DTS HR Sous-titres Français Format d’image Codec MPEG4-AVC Résolution 1080p Editeur Studio Canal Synopsis En 1997, l’île de Manhattan est devenue une gigantesque prison où les détenus vivent en autarcie sans aucune surveillance. Le détournement d’un avion présidentiel américain va conduire le chef d’Etat à s’écraser au beau milieu de ce pénitencier. Snake Plissken Kurt Russel, un nouveau détenu, va se voir obligé de sauver le président pour sauver sa propre vie. Mini-critique La dystopie présentée par John Carpenter dans Escape from New York lui sert de terrain d’expérimentation de mélange des genres la science-fiction côtoie le western tout en développant une ambiance de film d’épouvante. Manhattan est une ville décrépite où règne des clans de tordu en tout genre et Snake Plissken doit se frayer un chemin parmi la désolation pour retrouver le président des Etats-Unis et sa fameuse mallette, limité par un compte à rebours de 22 heures au-delà duquel il mourra suite à l’explosion de mini-bombes implantées dans ses artères. Ce corsaire futuriste, incarné par Kurt Russell, traverse des ruelles malfamées où la survie passe autant par l’infiltration que les affrontements directs. Il sera contraint de négocier avec la faune locale pour remonter jusqu’à son objectif rédempteur. Carpenter livre une quantité foisonnante de plans nocturnes angoissants dans cet univers qui semble né du mélange de A Clockwork Orange et de Mad Max. 1997 est une année déjà loin derrière nous mais le film conserve le charme d’une production solide d’un obscur avenir. A lire aussi, l’avis de Tootsif sur La Pellicule Brule. Le Blu-ray – Image Commençons par l’unique bon point de ce transfert les noirs qui ne pourraient pas être plus profonds. Alors bien sûr, avant de cracher son venin, il faut avouer qu’Escape from New York est un film qui baigne dans la nuit mais cela n’excuse pas tout aucune précision dans le piqué, même dans les rares scènes de jour et un niveau de détail ridicule hormis en gros plan et encore, c’est relatif. Les couleurs sont passables, bien que peu homogènes, tout comme le grain. Bref, un DVD upscalé pourrait afficher des qualités similaires. – Son Seule la piste en VO est testée. Ouf ! Moins catastrophique que l’image la spatialisation est excellente, surtout dans les sons d’hélicoptères. Les musiques froides et pesantes de Carpenter ne prennent jamais le dessus sur les effets, tous convenablement rendus. C’est le canal des voix qui est le moins convaincant par son mixage. – Bonus Rien, sauf un outils de réglage de l’image quelle ironie pour un film au transfert aussi pourri et un autre pour le son. Annotations Contrairement à toutes les langues annoncées sur la pochette, le blu-ray ne propose qu’une VOST et une VF. Les sous-titres sont de qualité médiocre, de nombreuses phrases n’ont pas l’honneur d’être traduites alors qu’elles contiennent des détails non négligeables… Bref, y a du foutage de gueule de A à Z. Je ne sais pas s’il s’agit d’un problème de firmware avec ma platine mais je dois lancer le film en passant par Chapitre », le bouton Film » me ramenant inévitablement au menu principal ! Notes Film 7/10 Image 2/5 Son 3,5/5 Bonus 0/5 Avis global 2/10 Article rédigé par Dom Escape from New York John Carpenter - USA 1981 1h40mn VOSTF - avec Kurt Russell, Adrienne Barbeau, Lee Van Cleef, Ernest Borgnine, Isaac Hayes et Harry Dean Stanton... Un prisonnier, Snake Plissken, doit récupérer le président dont l’avion s’est crashé en plein Manhattan. La ville est devenue une île-prison dans laquelle plus de 3 millions de détenus, organisés en bandes rivales, s’affrontent. Le chaos règne dans ce décor de fin du monde. Snake n'a que 24 heures devant lui pour ramener le président et… désamorcer les mini-bombes qu'on lui a implantées dans le corps. New York 1997 s’ouvre par une voix off qui décrit un état des lieux avec sa progression exponentielle de la criminalité. En moins de 10 mn tous les enjeux narratifs sont posés. Plissken, anti-héros magnifique, évoque les figures légendaires de l’ouest. Mieux, il symbolise une sorte de revenant, revenu de tout d’ailleurs, un fantôme d’une autre époque. D’ailleurs, tout le monde n’arrête pas de lui dire je te croyais mort ». Le cinéaste joue avec les clichés du lonesome cowboy solitaire et cynique. Il utilise un genre, le film d’anticipation, pour le détourner et livrer un pur western moderne. Désormais, errants dans un no man’s land désespéré et violent où tout trace d’humanité a disparu, les héros n’ont plus d’idéaux, ils ne sauvent plus la veuve et l’orphelin. Juste leur peau. Kurt Russell prête son physique athlétique, visage impassible et chevelure rebelle, au mythique Snake Plissken, icône absolu du cinéma d’action. 32 ans après sa réalisation, alors qu’il a été pillé, copié jusque dans les moindres détails par au moins deux générations de tâcherons hollywoodiens, on redécouvre avec bonheur New York 1997 - un post nuke nihiliste à l’atmosphère tendue, porté par une mise en scène parfaite. John Cinéaste classique dans la lignée de Ford ou Hawks, auteur complet, Carpenter a également composé la fascinante partition électro et a assuré le montage, ciselant à la main » un grand film d’action, loin de la bouillie visuelle des blockbusters contemporains. Et, cerise sur le gâteau, ce n’est pas tous les jours que l’on rencontre dans un même film les trognes de Lee Van Cleef, Ernest Borgnine, Isaac Hayes et Harry Dean Stanton… ESCAPE FROM NEW YORK En raison d'une énorme hausse de la criminalité, le gouvernement prend la décision de transformer New York en centre de détention perpétuelle. Une fois à l'intérieur, les prisonniers sont livrés à eux-mêmes et il n'est plus question d'en ressortir ! Suite à une prise d'otages, l'avion présidentiel est détourné avant de s'écraser à l'intérieur du périmètre d'incarcération. Pressé par le temps, la décision est prise d'envoyer un dangereux criminel à l'intérieur de la prison pour ramener discrètement le président et ses précieux documents. Après FOG, John Carpenter aurait du réaliser PHILADELPHIA EXPERIMENT pour Avco Embassy. Mais n'étant pas satisfait du scénario, il propose à la maison de production un scénario qu'il traîne depuis quelques années déjà et qui devient ESCAPE FROM NEW YORK soit NEW YORK 1997 en version française. Tout comme HALLOWEEN et FOG, la majeure partie de NEW YORK 1997 se déroule de nuit et comme pour les deux films précédents, c'est Dean Cundey qui s'occupe de la photo du film sur lequel ils expérimentent de nouveaux objectifs qui ont l'avantage d'obtenir une plus grande profondeur de champ et surtout d'être adaptés aux tournages nocturnes. Autre élément clef dans la réalisation de NEW YORK 1997, Joe Alves s'occupe de préparer le terrain. Ancien collaborateur de Steven Spielberg sur LES DENTS DE LA MER et RENCONTRES DU TROISIEME TYPE, ce directeur artistique passera à la réalisation pour LES DENTS DE LA MER 3. Sur NEW YORK 1997, il s'occupera donc essentiellement de transformer des paysages contemporains de Saint Louis pour qu'ils ressemblent à une version chaotique de New York. Pas mal d'ingéniosité de son côté ainsi que la mise en scène de John Carpenter permettent de créer l'illusion avec un petit budget de six millions de dollars. Au final, le film sera un succès qui sera inévitablement repris pour quelques copies sur celluloïd, que ce soit de façon directe comme l'amusant 2019 APRES LA CHUTE DE NEW YORK ou indirecte tel que l'évasion de la chambre d'hôtel dans NEMESIS. Toujours de FOG, John Carpenter reprend aussi Adrienne Barbeau et Tom Atkins mais il lui manque l'acteur pour interpréter le rôle principal ! Pour incarner l'anti-héros Snake Plissken, John Carpenter pense à Kurt Russell avec qui il a déjà travaillé sur la mini-série, distribuée en version courte dans les salles de cinéma françaises, LE ROMAN D'ELVIS. Un peu incrédule face à un acteur jusque-là cantonné à des interprétations un peu trop lisses, la production aurait préféré imposer Charles Bronson qui aurait été intéressé par le rôle. Mais John Carpenter soutient mordicus Kurt Russell. Suite à ce tournage, les deux hommes deviendront amis et ils se retrouveront pour THE THING, LES AVENTURES DE JACK BURTON et LOS ANGELES 2013, la suite mal perçue de NEW YORK 1997. Pour lui donner la réplique, ils engagent Lee Van Cleef, figure légendaire du Western que ce soit pour Sergio Leone LE BON, LA BRUTE ET LE TRUAND…, le personnage de SABATA ou une flopée de Westerns américains plus traditionnels. Au moment de NEW YORK 1997, son heure de gloire est passée et il lui faut malheureusement plus tard cachetonner ici ou là, même à la télévision dans une série télévisée où il incarne un ninja poursuivi par Sho Kosugi. Enfin, NEW YORK 1997 se pare de Donald Pleasence, Ernest Borgnine, Harry Dean Stanton et même de Isaac Hayes, compositeur, entre autre, du thème musical de SHAFT. Season Hubley, épouse à l'époque de Kurt Russell, vient donner la réplique à son mari dans un rôle assez bref. Et pour ceux qui ne le saurait pas, Jamie Lee Curtis est même de la partie puisqu'elle prête sa voix lors de la présentation de la prison au début du film. Après les évènements du 11 septembre, il y eut des rumeurs concernant la modification de films et NEW YORK 1997 faisait partie du lot. Une rumeur entretenue par la modification de MEN IN BLACK II ou la disparition du Teaser de SPIDER-MAN qui mettait en vedette les tours jumelles. Des Américains ont du voir avec le crash volontaire d'un avion dans un immeuble au début du film et l'utilisation du World Trade Center dans le scénario, de mauvais souvenirs à effacer. Heureusement, ces rumeurs se sont avérées fausses et John Carpenter revient d'ailleurs rapidement là-dessus dans sa petite présentation parmi les suppléments. A l'origine, John Carpenter avait tourné toute une séquence d'un casse réalisé par Snake Plissken avant que celui-ci ne soit appréhendé dans le métro. Jugé trop longue et ralentissant l'entrée dans le vif du sujet, cette séquence disparaît totalement avant que l'on en retrouve des morceaux, sans piste sonore, sur le Laserdisc de New Line. Depuis, l'intégralité de la séquence a été retrouvée, bande-son incluse, et il serait prévu de la rajouter au film pour une future édition sur DVD. L'édition française ne fait pas vraiment mention de ce passage d'une dizaine de minutes, bien que rapidement évoqué dans la présentation de John Carpenter, et pas la moindre image n'est visible non plus ! Au fil des ans, le personnage de Snake Plissken est devenu une véritable icône. Anti-héros qui n'agit que pour lui-même, Snake Plissken s'inscrit naturellement dans un système où la vie humaine n'a plus beaucoup d'importance. Pas vraiment du côté du bien, Snake Plissken apparaît pourtant bien plus humain qu'un Président des Etats-Unis, incarné par Donald Pleasence, antipathique mais probablement pas si éloigné de la plupart des personnes qui nous gouvernent. L'univers de NEW YORK 1997 n'a rien de rose et ne fait pas montre de manichéisme. La fin de NEW YORK 1997 ne se lance pas non plus dans le happy-end même si sa conclusion est des plus jouissives. Celle-ci sera encore décuplée dans le final mémorable de LOS ANGELES 2013 quinze ans plus tard ! NEW YORK 1997 est un film d'anticipation critique envers la société américaine. Mais tout cela se fond dans un véritable film d'action où l'on suit le périple d'un Snake Plissken qui va se faire taper dessus, mitrailler, et devra souffrir pour atteindre son but. Des ingrédients qui font recette comme c'est le cas d'une autre icône du cinéma avec le John McClane de la série des DIE HARD PIEGE DE CRISTAL et ses deux suites. L'aspect politique du film s'efface donc au profit de l'efficacité rigoureuse du film d'action. En réalisant un vrai/faux remake avec LOS ANGELES 2013 version comics-book», John Carpenter se permettra de pousser le bouchon beaucoup plus loin dans sa critique de la société américaine. TF1 Vidéo avait déjà sorti sa propre version de NEW YORK 1997 sur DVD. Le cadre n'était pas exactement respecté et, comme on peut le voir sur les images, le nouveau transfert réalisé par Studio Canal découvre un peu plus d'images sur les côtés pour retrouver le cadrage en format large d'origine. Les couleurs très froides, limite clinique, du disque TF1 sont remplacées par des couleurs bien plus chaudes et une teinte plus proche des intentions d'origine. Néanmoins, l'image n'est pas exempte de défauts et la compression se fait sentir essentiellement dans les arrière-plans. Le disque contient la piste sonore anglaise en Dolby d'origine, codée sur deux canaux et que l'on peut décoder en ProLogic, mais aussi de nouveaux mixages en Dolby Digital Ce choix est disponible que ce soit pour la version originale ou le doublage français. Dans un cas comme dans l'autre, si l'on gagne en clarté et en dynamisme, les pistes sonores n'ont pas été modifiées de façon radicale pour respecter les bandes-son d'origine, à l'exception peut-être d'une mise en retrait de certains dialogues sur la version anglaise. Certains effets, comme des coups de feu, pourront ainsi paraître un peu étouffés voire très étranges pour ceux qui sont habitués à écouter des films récents en multi-canaux. Mais au moins, personne ne s'est amusé à jouer les apprentis sorciers ! Concernant le doublage français, il semble être en simple stéréo et manque un peu de spatialisation. On retrouve ce problème sur le mixage dans une moindre mesure mais ce mixage ne parvient pas à donner la même impression de réalisme que la version anglaise. Parmi les suppléments, on peut regretter l'absence d'un commentaire audio. Celui-ci existait pourtant bel et bien sur le Laserdisc américain et donnait la parole au réalisateur mais aussi à l'interprète de Snake Plissken. Pour qui a eu le plaisir de l'écouter, cela paraîtra encore plus décevant de ne pas retrouver les deux hommes nous parler du film avec nombre d'anecdotes amusantes comme la séquence trop réaliste au goût de Kurt Russell du combat sur le ring puisque le catcheur face à lui ne faisait pas semblant ! Il est probable que New Line, éditeur du Laserdisc à l'époque, n'a pas laissé échapper ce bonus tout comme des scènes coupées du casse qui devait ouvrir le film ou une interview de Carpenter à propos du film. L'interview de Carpenter, présente sur le Laserdisc, sera remplacée ici par une autre réalisée spécialement pour le DVD français. Le réalisateur présente rapidement la genèse du film et parle au passage du challenge de montrer visuellement à l'écran un New York abandonné à des prisonniers sans foi ni loi. En dehors de cette petite présentation, on retrouvera trois bandes-annonces mais celle du disque français, présentée en format large, n'est pas sur ce disque. Enfin, deux galeries de photos permettent de découvrir des affiches internationales du film ainsi que divers clichés photographiques. Quelques filmographies plus tard, vous en aurez terminé avec les suppléments spécifiques à NEW YORK 1997. Dernier supplément, le disque contient un petit documentaire qui donne la parole à divers réalisateurs et acteurs pour nous donner leur opinion concernant John Carpenter. Ce sont donc, entre autre, Vincenzo Natali CUBE…, Jaume Balaguero LA SECTE SANS NOM et DARKNESS qui parle d'ailleurs en français, Eric Valette MALEFIQUE, Doug Headline BROCELIANDE, Brian Yuzna SOCIETY, LE RETOUR DES MORTS-VIVANTS 3… ou George Corraface qui se succèdent en exprimant leur admiration pour Mr. Carpenter. L'acteur George Corraface, le seul à avoir travaillé directement avec John Carpenter, a d'ailleurs quelques anecdotes plutôt amusantes dont l'une d'elles nous prouve que des différences de budget peuvent modifier considérablement le casting d'une colombe. Nous attendions une édition plus impressionnante de NEW YORK 1997 sur DVD après le disque un peu vide de TF1 Vidéo. A l'arrivée, il y a de quoi être partagé entre le plaisir de revoir le film accompagné de quelques suppléments sympathiques la présentation de John Carpenter et le documentaire et l'impression que l'édition définitive se trouve encore bien éloignée ! 4 news 635 critiques Film & Vidéo 2 critiques Livres On aime Snake Plissken Les acteurs La présentation de John Carpenter Le documentaire On n'aime pas Quelques soucis de compression Une édition qui n'est hélas pas aussi complète comme on pouvait l'espérer Mon compte Se connecter S'inscrire Notes des lecteurs Votez pour ce film Vous n'êtes pas connecté ! 7,88 24 votes Ma note - Autres critiques L'édition vidéo Editeur Support DVD Double couche Audio English Dolby Digital English Dolby Digital Stéréo Surround Francais Dolby Digital Francais Dolby Digital Stéréo Supplements Présentation par John Carpenter 10mn38 Carpenter vu par… Documentaire – 21mn06 Bandes-annonces Teaser 1 Teaser 2 Trailer Galerie de photos Photos de tournage Photos de production Filmographies John Carpenter Kurt Russell Lee Van Cleef Donald Pleasence Adrienne Barbeau Menus Autres éditions vidéo Revoir New York 1997 en 2020 c'est s'offrir un petit plaisir coupable, remonter le temps pour découvrir un passé qui n'a finalement jamais existé, replonger aux sources du mythe Snake Plissken, retrouver le duo John Carpenter-Kurt Russell ainsi que toute une magnifique bande de bad boys devant la caméra, le temps d'une histoire probablement connue de tous l'avion du président des États-Unis, le célèbre Air For One, est détourné par des terroristes et se crashe sur l'une des tours du World Trade Center ; las, Manhattan est devenu une prison à ciel ouvert, d'où personne ne peut sortir vivant, alors, pour le libérer, on envoie un ancien héros devenu malfaiteur. Il a vingt-quatre heures pour ramener le président et, accessoirement, sauver sa peau. C'est brut, c'est simple. C'est une sorte de western d'anticipation, urbain et noir, où rien n'est superflu. John Carpenter va à l'essentiel dans une intrigue taillée à l'os, où les décors apocalyptiques nous plongent dans un monde en pleine régression, peuplé de tribus bariolées et peu fréquentables, un peu Warriors, un peu Mad Max. Le casting est parfait Lee Van Cleef en super flic vicieux, Ernest Borgnine en chauffeur de taxi gouailleur et généreux, Isaac Hayes en imposant chef de meute, Harry Dean Stanton en ex-complice avide de rédemption, Donald Pleasance en président ridiculisé et revanchard et, last but not least, Kurt Russell en héros borgne digne de ses grands aînés de l'Ouest sauvage, John Wayne, James Stewart ou Clint Eastwood... Il n'y a rien à jeter. L'action est omniprésente, l'humour est bien là le "Je te croyais mort" lancé à Snake Plissken revient comme un running gag, les clins d'œil sont amusants on ne téléphone jamais à des gars dénommés Romero et Cronenberg par hasard, l'intrigue a un petit goût politique même si on en voit très peu de chose, John Carpenter nous décrit les États-Unis de 1997 comme un pays qui ne semble plus avoir grand-chose de démocratique, et puis il y a ce petit côté suranné du cinéma à papa un montage parfois un peu lent, un budget figurants en apparence assez limité, les effets spéciaux pour multiplier les humains à l'infini n'existaient pas, et on reste scotché par l'omniprésence du World Trade Center sur tous les plans d'ensemble. Ils nous rappellent que cette Amérique futuriste de l'époque 1981 n'a pas été celle décrite par John Carpenter, elle est sans doute bien pire. NdR - New York 1997 95 min. réalisé par John Carpenter sur un scénario de John Carpenter et Nick Castle. Avec Kurt Russell, Lee Van Cleef, Donald Pleasance, Isaac Hayes, Ernest Borgnine, Harry Dean Stanton... Bonus. Présentation du film par John Carpenter. Documentaire Carpenter vu par.... Photos. Filmographies. Bandes annonces. Livret d'Hélène Frappat 84 p..- Le président est mort... - Ils ont dû le bouffer.

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