Définition La curiethérapie, également appelée brachythérapie (du grec brachy, « court »), est une forme de radiothérapie consistant à placer des éléments radioactifs (iridium ou Unevidéo amateur de l’interpellation de Theo par quatre policiers à Aulnay-sous-Bois a été diffusée ce dimanche. Accusés de viol en réunion, les agents des forces de l’ordre, qui ont Jevient de m'en rendre compte, wtf? ça ne se dissout pas dans l'estomac ces - Topic help:j'ai un cheveux dans l'anus omg du 15-07-2014 22:49:55 sur les forums CONNEXION Retour Jeux Ceprojet conduit donc à la réminiscence d’un vécu émotionnel et corporel en lien avec les thèmes de création, de vie et de mort. Par l’intermédiaire des processus de création et de destruction de l’objet en argile, l’objectif thérapeutique est d’accompagner les adolescents dans l’élaboration d’un vécu mortifère, en Toutesnos photos, toutes nos vidéos sont exclusivement réalisées dans nos établissements, avec nos masseuses. L’univers Luxeva, c’est un monde de sensualité et d’érotisme. L’aventure commence, pour la masseuse comme par vous-même, par quelques instants de pureté et d’apaisement, au sein de nos équipements de grand confort Premièrement il faut se rappeler qu'Hélène Boudreau, alias La fille de L'UQAM, s'est introduit dans l'anus, cette semaine, des Gummy Bears dans le supposé cadre de son travail. Elle a avoué alors dans une vidéo que durant un live devant environ 300 personnes, elle avait déféqué sur son ordinateur. Vous pourrez revoir ce contenu ICI. Avec toute cette saga qui a entouré la . La punition de Cécile 1 Par Docteur Dominique GALLIEN Avant propos Cette histoire est une fiction qui s'adresse à un public averti. Si vous êtes âgée de moins de 18 ans, veuillez ne pas lire ce texte. Les personnages et les faits relatés sont entièrement imaginaires. Toute ressemblance avec des évènements ou des personnes ayant existé est purement fortuite. Chapitre 01 Je m'appelle Cécile, j'ai 25 ans. Mariée à un homme de 45ans, sans profession, j'ai commis la faute de le tromper, et surtout de me faire prendre en flagrant délit. Depuis j'ai largement eu le loisir de m'en repentir ! Mariée très jeune à un mari très pris par ses affaires, je menais une vie riche et oisive, et c'est sans doute cette oisiveté qui me poussa à prendre des amants, plus que des besoins sexuels que d'ailleurs mon mari satisfaisait assez bien. Jolie blonde aux yeux bleus, mince, je n'avais aucun mal à me faire draguer et en abusais en toute insouciance. Ce que j'ignorais, c'est que mon époux se méfiait de moi et avait chargé un détective privé de me surveiller. Ce jour-là, j'étais chez mon amant du moment, Bruno, un beau brun ténébreux qui me baisait divinement. Il était en train de me sauter en levrette, moi à quatre pattes, seulement vêtue, si j'ose dire, de mon porte-jarretelles et de mes bas, allant et venant puissament dans mon vagin, quand tout à coup la porte s'ouvrit avec fracas sous un violent coup d'épaule, et mon mari apparut tenant un révolver à la main ! J'eus alors l'impression que mon sang se glaçait dans mes veines, cependant que je sentais la verge de Bruno débander rapidement dans mon sexe. Je crus ma dernière heure arrivée, j'étais épouvantée. Mon mari ne tira pas, mais dit d'une voix glaciale en nous menaçant de son arme - Allez, la séance est terminée. Cécile, rhabille-toi en vitesse, je te ramène à la maison. Honteuse, plus morte que vive, j'enfilai rapidement mes vêtements, la chatte encore gluante du sperme de l'assaut précédent, me sentant sale, humiliée, terrorisée. Redevenue décente, je suivis mon époux, tête basse. Une fois dans la voiture, il m'ordonna de déposer tous mes bijoux dans la boîte à gants je n'osai protester et lui obéis. Durant tout le trajet jusqu'à notre grande maison en banlieue chic, il ne me dit plus un seul mot, me laissant le prier, le supplier, pleurer toutes les larmes de mon corps, lui demander humblement pardon. C'est seulement de retour chez nous qu'il ouvrit la bouche pour m'ordonner de venir avec lui en me prenant fermement par le bras, me faisant mal ; les jambes flageolantes, je le suivis donc et il me conduisit dans les sous-sols de la villa et ouvrit une porte de cave et me poussa à l'intérieur, me disant - Ta conduite inqualifiable mérite une punition. Le temps que j'avise de ton sort, tu vas vivre ici, dans cette cave. Le confort en est largement suffisant pour une petite salope comme toi. Un conseil, économise l'eau cela peut durer un certain temps ! La-dessus, il rabattit la porte et j'entendis la clef tourner sinistrement dans la serrure j'étais prisonnière. Secouée de sanglots, j'observai le réduit d'environ deux mètres sur trois dans lequel j'étais enfermée. Il ne comportait aucune fenêtre ou soupirail, et était faiblement éclairé par une petite ampoule pendue par un fil au plafond. Comme me l'avait laissé entendre sarcastiquement mon époux, le confort était réduit un mauvais matelas étroit posé par terre, dans un coin un seau hygiénique à côté d'un tabouret sur lequel etait posé un gros pain et à côté duquel s'alignaient quelques bouteilles en plastique d'eau minérale. Pour l'inventaire, c'était tout ! Folle d'angoisse, je m'éffondrais sur le matelas et pleurais tout mon saoul qu'allait-il m'arriver ? Mon époux, bien que m'ayant fort bien traitée jusqu'ici, était d'une jalousie féroce, et je redoutais sa colère. Son calme actuel ne présageait rien de bon il aurait pu nous tuer tous les deux avec Bruno, il ne m'avait même pas frappée ! De plus, visiblement, cette cave avait été prévue pour me recevoir il devait connaître mon inconduite depuis un certain temps, de même qu'il n'avait pas pu arriver par hazard chez mon amant... Toutes ces reflexions n'auguraient rien de bon pour moi... Et le temps se mit à couler, monotone. Je ne savais absolument pas quelle heure il pouvait être, puisque je n'avais plus ma montre. Je ne pouvais non plus me baser sur la lumière du jour, car mon cachot n'était éclairé chichement que par l'électricité. Je suis absolument incapable de dire le temps que dura ma réclusion plusieurs jours en tout cas. Aucun bruit ne me parvenait et je me mis à vivre aux rythme de mes besoins naturels et de ma faim ou de ma soif je mangeais un peu de pain, buvais quelques gorgée d'eau ou me soulageais sur le seau hygiénique qui sentait de plus en plus mauvais. Moi aussi, je devais puer pas moyen de se laver, même pas de papier hygiénique pour m'essuyer la vulve ou l'anus. Je dormais par moments, un sommeil lourd peuplé de cauchemards horribles qui me réveillaient en sursaut baignée de sueur. Ma déchéance s'amplifiait avec le temps qui passait je me sentais sale, pas coiffée, mon maquillage avait coulé depuis longtemps, mes vêtements étaient sales et froissés, en particulier ma petite culotte, mes bas déchirés. De plus le seau hygiénique, malgré son couvercle, répandait une odeur pestilentielle. J'étais dans un état lamentable de crasse et d'abattement quand la porte de mon cachot s'ouvrit alors que je ne l'attendais plus. A ce moment, j'étais debout dans ma cellule et je n'eus pas le temps de réagir deux hommes bâtis en armoire à glace et vêtus de blouses blanche se jetèrent sur moi et m'enfilèrent rapidement une camisole de force par dessus mes vêtements, emprisonnant mes bras croisés devant moi. Je protestai violemment, en pure perte. Je fus jetée sur le matelas et pendant que l'un des hommes me maintenait, l'autre glissa ses mains sous ma jupe ample pour me retirer ma culotte. Je ruais, hurlais en vain et même, profitant que j'avais la bouche grande ouverte, l'homme en profita pour y fourrer mon slip souillé qu'il tassa dans ma bouche en guise de baillon. Pour compléter mon mutisme, il me colla une large bande de sparadrap sur les lèvres. On coiffa ma tête d'une cagoule de tissu noir, on relia mes chevilles entre elles par une paire de menottes, je fus enroulée dans un drap, empoignée et posée sur une civière sur laquelle je fus sanglée au niveau de la poitrine, du ventre, des cuisses et des jambes. Je sentis qu'on emportait le brancard jusque dans une voiture, sans doute une ambulance, où il fut glissé. Le trajet dura un certain temps. Je ne voyais rien, ne pouvais m'exprimer, ma petite culotte emplissant ma bouche, sans compter le sparadrap. Puis on me déchargea de la voiture et on me posa quelque part. Au bout d'un moment d'attente, je sentis qu'on s'affairait autour de moi, une voix féminine s'exclamant dégoùtée - Qu'est-ce qu'elle peut sentir mauvais ! On me désangla, me déballa de mon drap et on me retira ma cagoule. Ma civière était possé sur le sol d'une grande pièce entièrement carelée, et deux jeunes femmes en blouses blanches étaient accroupies près de moi, dont une de race Noire. Plus loin, deux types massifs, également en blouses blanches, debout, tenant chacun un long fouet à la main. Les deux filles commencèrent à me libérer chevilles, camisole de force, sparadrap sur ma bouche de laquelle l'une d'elle retira ma culotte sale qui l'emplissait, me disant gentiment - Ici, tu peux gueuler tant que tu voudras personne ne t'entendra ! On m'ordonna de me mettre debout et de me déshabiller entièrement. Debout, ankylosée, afaiblie, je refusai avec énergie de quitter mes vêtements mal m'en prit ! Les deux hommes brandirent leurs fouets et les abattirent sur moi, me frappant le dos, le ventre, les cuisses... Je cédai rapidement sous cette avalanche cinglante et très douloureuse en pleurant je retirai tous mes vêtements bien défraîchis d'abord la veste de mon tailleur, puis mon chemisier, ma jupe je roulai ce qui restait de mes bas, dégraffai mon soutien-gorge et mon porte-jarettelles ; quant-à mes escarpins vernis, ils étaient restés dans la cave de notre maison. Je me retrouvai toute nue et honteuse devant les quatre personnes qui me détaillaient d'un air goguenard. La civière sur laquelle j'avais été amenée fut évacuée, on me poussa dans un angle de la pièce et une des jeunes femmes saisit un tuyau terminé par une lance, ouvrit un robinet et braqua sur moi le jet tiède. Elle m'arrosait partout, manquant me faire suffoquer par la roideur du jet sur le visage, la poitrine ou le ventre, me demandant de tourner sur moi-même pour mouiller tout mon corps. La menace des fouets me rendait obéissante je suis assez douillette par nature, détestant la douleur physique. De même, quand elle me demanda de me prosterner en lui tournant le dos, j'obéis après un semblant d'hésitation, exposant mes parties les plus intimes à leurs regards, ainsi qu'à la violence du jet d'eau qui me frappait durement la vulve et l'anus, arrivant même à pénétrer ces deux orifices, surtout le vagin. Le jet d'eau fut coupé et l'autre femme s'approcha de moi, un gros morceau de savon à la main, et entrepris de me savonner de la tête aux pieds, y compris les cheveux, me faisant accroupir pour savonner vigoureusement mon entrecuisse, n'épargnant aucun recoin le plus secret de mon anatomie... Après ce savonnage, de nouveau le jet pour me rincer. La fille qui le manipulait s'approcha tout près de moi, baissa la puissance, me demanda d'écarter largement les jambes puis fit remonter l'embout verticalement entre mes cuisses jusqu'à pénétrer mon vagin mais aussi mon anus ! Le plaisir de me sentir propre était loin de compenser l'humiliation ressentie d'être ainsi traitée en public. On me laissa m'égoutter un moment, toujours nue, avant de me passer une serviette assez rêche pour finir de me sécher. Toujours amenée au calme par la présence des fouet, je dus me laisser harnacher, morte de honte collier en cuir autour du cou, bracelets en cuir également, aux poignets et aux chevilles. Chacun de ces accessoires muni d'un mousqueton. Mes poignets furent reliés entre eux dans mon dos, une barre rigide de métal fut accrochée entre mes chevilles, les maintenant écartées en permanence. La jeune femme noire accrocha une laisse au mousqueton de mon collier et tira dessus pour m'inviter à la suivre. Je dus m'exécuter, tenue en laisse comme une chienne, de plus la barre d'écartement entre mes cheville m'obligeait à marcher grotesquement à petits pas, les jambes très écartées... Elle me conduisit ainsi dans une chambre ressemblant à celle d'une clinique, avec un lit blanc étroit, comportant uniquement un drap de dessous et un traversin. Elle détacha mes poignets, juste le temps de m'allonger sur le dos et de les fixer aux barreaux de la tête du lit. De même elle retira la barre d'espacement et attacha mes chevilles au pied du lit. Je me retrouvai ainsi nue, attachée en croix sur le lit, bras et jambes écartés et jetai un coup d'oeil autour de moi. L'ameublement était réduit au minimum coin toilette avec WC à la turque, lavabo et bidet ; sur une table des poires et un bock, ainsi, ce qui me glaça, des intruments de punition martinet, cravache, fouet... J'osai interroger la Noire - Où suis-je ? - Dans une clinique très spéciale et où tu as intérêt à obéir si tu veux éviter d'être punie encore plus durement ! Elle me détaillait tranquillement de la tête aux pieds, regardant surtout entre mes cuisses que je ne pouvait bien sûr pas resserrer pour échapper à cet examen gênant pour ma pudeur. Elle vint tout près du lit, posa ses mains sur moi et se mit à me parcourir tout le corps, pinçant le bout de mes seins, me palpant les cuisses, glissant même une main entre elles, titillant mon clitoris, enfonçant ses doigt dans ma chatte, me tâtant l'anus. Je protestai, évidemment, mais elle s'en moquait éperdument et je ne pouvais me soustraire à ses attouchements vicieux. Au contraire, elle insistait lourdement sur mes parties les plus intimes, me masturbant littéralement. Ce contact me dégoûtait, m'humiliait, mais, aussi, à ma grande honte, m'excitait et me faisait mouiller. Il faut dire que sur le plan sexuel, je me mettais la ceinture depuis mon coït interrompu avec Bruno, et dans la profondeur de la cave, je n'avais certes pas eu envie de me masturber j'étais loin d'avoir le coeur à ça ! Et l'autre continuait à me caresser, ne pouvant ignorer l'état dans lequel elle me mettait. Mais elle cessa et j'en fut déçue. Je la vis avec surprise trousser sa blouse blanche et retirer sa culotte blanche également. Elle me dit alors - Tu es mignonne, tu sais ? Tu veux bien me sucer la chatte ? - Il n'en est absolument pas question !!! Elle dit simplement "Bon", et dix secondes plus tard elle avait le martinet en main et me flagellait tout le devant du corps. Les lanières s'abattaient sur mon ventre, mes cuisses, mes seins, et même atteignaient parfois des points extrèmement sensibles entre mes cuisses, me faisant un mal de chien. Rapidement, je hurlai, pleurai, la suppliai d'arrêter en pure perte. La correction dura longtemps. Enfin, elle cessa, et me demanda sans élever la voix - C'est toujours non ? Veux-tu que je continue à la cravache? - Oh non, par pitié, bégayai-je entre mes sanglots, ne me battez plus, je ferai tout ce que vous voudrez ! Sans un mot, mais avec un sourire triomphant, elle monta sur le lit, retroussa sa blouse et s'accroupit sur mon visage. Sa fente, de couleur sombre était couverte de poils courts et crépus, très odorante. Je n'avais jamais sucé une femme, mais de peur des représailles je m'y mis bravement et avançai ma bouche vers sa vulve. Contrairement à ce que j'imaginais, le goût n'en était pas désagérable du tout, bien au contraire ! Elle me guidait de la voix, bougeant son cul sur mon visage. Sur ses indications, j'aspirais son clitoris très gros, enfonçais ma langue le plus loin possible dans sa chatte ou dans son anus. Elle me tournait le dos et je sentis ses doigts m'ouvrir la chatte puis la pénétration de mon vagin par un objet dur c'était le manche du martinet qu'elle avait toujours en main et qu'elle fit aller et venir entre mes cuisses. Notre pose dura un moment, moi lui bouffant le cul, elle me pistonant la chatte. J'étais sur le point de jouir quand son orgasme se déclencha je sentis les contractions de sa vulve qui coula abondamment dans ma bouche. Aussitôt, elle arrêta de me branler, me bloquant brutalement dans la montée du plaisir, descendit de mon lit; renfila sa culotte et quitta la pièce sans dire un mot, me laissant le manche du martinet enfoncé jusqu'au fond de mon vagin. J'en aurais pleuré de frustration. J'essayai bien de me tortiller pour essayer de me faire jouir, mais n'y parvins pas et restai ainsi, excitée, le manche de bois planté entre mes cuisses. Un peu plus tard, c'est l'autre fille qui m'avait acceuillie qui vint me voir, une jolie blonde, celle-ci. Elle vint près du lit, saisit le manche qui dépassait de ma chatte et lui imprima un mouvement de va et vient en me disant - Nora m'a dit que tu lui avais sucé la chatte. Tu veux bien m'en faire autant ? Ou bien si tu préfères, je te cravache les nichons... - Non, non... implorai-je, ne me battez pas, par pitié je vais vous sucer... Et la scène se répéta elle excamota son slip et vint s'accroupir sur mon visage son odeur était différente et sa chatte faisait un grand contraste avec celle de sa collègue, des muqueuses rose clair au lieu du bistre, un fin duvet blond à la place des poils noirs et crépus... Elle aussi déchargea sa cyprine dans ma bouche, elle aussi me laissa en plan. Avant de me quitter, elle retira le manche de ma chatte et m'ordonna de le lécher pour le nettoyer il était mouillé de mes sécrétions intimes et comme elle tenait la cravache dans son autre main, je ne fis aucune difficulté pour obéir et retrouver sur ma langue le goùt de mon propre sexe... Un homme grand, en blouse blanche, aux tempes grisonnantes, âgé d'une cinquantaine d'année entra dans ma chambre et se présenta - Je suis le Docteur MORIN, cette clinique m'appartient et je t'y souhaite la bienvenue. - Oh, docteur, je vous supplie, libérez-moi ! - C'est hors de question. Ton mari t'a placée chez moi pour te punir de ton inconduite... - Mais... qu'allez-vous me faire, Docteur ? - Tu vas le découvrir au fur et à mesure, mais voici les grandes lignes de ton séjour ici tu vas subir une série d'examens médicaux, une sorte de bilan ; des traitements te seront également administrés... - Mais... Docteur, je ne suis pas malade ! - Eh bien nous verrons. En plus de la partie purement médicale, bien sùr il y aura les punitions inscrites au programme pour sanctionner la faute lourde que tu as commise, et une éducation dont tu as un grand besoin. Autant te prévenir tout de suite, tu n'es pas dans cette clinique pour ton plaisir mais pour expier. Aussi, si j'ai un conseil à te donner, c'est de filer doux, de te montrer docile et très soumise si tu ne veux pas aggraver ton cas ; ce n'est pas la peine de rajouter, par ton manque de coopération, des sévices au programme envisagé... Ton traitement commence demain, mais tout de suite, je vais faire un ou deux tests tu dois te laisser faire sans dire un mot. Il pose alors ses mains sur mes petits seins et commence à les malaxer sans douceur, me faisant assez mal. Puis il saisit mes tétons et les pince, les tire, les tourne durement la douleur irradie dans ma poitrine, je n'ose rien dire, mais, malgré moi mes yeux s'emplissent de larmes et comme il instiste, je ne peux pas retenir mes gémissements. Ses mains abandonnent mes nichons endoloris pour faire subir un sort semblable à mon clitoris qu'il pince et tord entre deux doigts là je ne peux m'empêcher de crier, ce qui me vaut un regard sévère qui me fait taire. Puis il enfile un gant de latex tiré de sa poche et introduit deux doigts porfondément dans mon vagin qu'il fouille longuement. Ses doigts ressortent de mon ventre, descendent plus bas entre mes fesses et je sens le bout de son index se poser sur mon anus. Instinctivement, je me crispe, mais poussant brutalement, il l'enfonce de toute sa longueur, le bouge un peu me disant cruement - Dis-moi, pour une petite salope de ton genre, tu as le trou du cul drôlement serré ! On va t'arranger ça... Quand il ressort son doigt de mon cul, c'est, dernière humiliation, pour mettre ses doigts gantés et souillés dans ma bouche pour me les faire lécher. Térrorisée je m'acquitte de mon mieux de cette tâche... Il s'en va me laissant rien moins que rassurée sur mon sort dans le futur proche ! Je suis effondrée et en même temps, je me sens lâche de me soumettre ainsi à des exigences obcènes sans résister, simplement par la peur de la douleur. perverpeper RETOUR A L'INDEX Le cancer de la prostate une cause de décès en France Le cancer de la prostate est une cause de décès importante en France, la forme de tumeur la plus fatale après celle touchant le poumon. Heureusement il se soigne, notamment par la pratique de l’ablation. Cela signifie que l’on retire l’organe pour éviter que la tumeur se généralise au reste du corps. Mais bien évidemment cela comporte un certain nombre de désagréments. A quoi sert la prostate ? La prostate sert principalement dans le corps humain à gérer deux fonctions. La première est l’évacuation de l’urine, et la seconde est celle du liquide séminal. C’est donc logiquement que cela soit ces deux processus qui viendront à être contrariés en cas d’ablation de la prostate. La continence, tout d’abord, peut être effectivement remise en cause. Le procédé de l’opération implique qu’en suite, pendant quelques temps, il y ait une certaine incontinence. Mais si les autres organes concernés, au premier titre desquels la vessie, n’ont aucun problème, cela rentre dans l’ordre au fil des moins, processus naturel de la guérison. Ensuite, l’éjaculation connait une remise en cause bien plus profonde. L’ablation de la prostate empêche ensuite l’éjaculation, même si l’érection dans certains cas est encore possible. Mais dans la moitié des cas, les rapports sexuels étaient déjà réduits à néant avant l’opération. L’électrostimulation et la prostatectomie Pour pallier à ces handicaps, l’électrostimulation semble apparaitre comme un bon moyen. Il s’agit d’une pratique visant à raffermir les muscles n’agissant plus pour contrôler l’évacuation des fluides. Par la production de courants électriques ciblés, l’électrostimulation fait jouer le muscle, produisant une rééducation des zones sensibilisées, notamment le périnée, qui à terme permettre d’atténuer les problèmes connus. La technique est la même pour les dérèglements érectiles est la même, s’intégrant ici non pas au périnée mais à la zone urogénitale. Les courants électriques se produisent sans aucune douleur, précisément établis pour une stimulation locale et ciblée. Le matériel requis est composé du stimulateur en lui-même, et d’une sonde destinée à l’orifice anal. Des modèles pratiques à manier sont désormais disponibles sans peine. Parmi les marques s’étant lancée dans l’électrostimulation du périnée de l’homme se trouve la marque Neurotrac, qui propose le Neurotrac Pelvitone qui est pris en charge par l’Assurance Maladie ou bien encore la marque Cefar Compex avec son Cefar Peristim Pro. Ces appareils sont destinés à être utilisés avec des sondes anales, telles que les sondes Analys+, Analys Blue, ou encore les sondes Anuform. Ces produits sont disponibles auprès des points de vente de la boutique du périnée. Ainsi, l’irréductibilité des conséquences d’une ablation de la prostate est atténuée par les techniques nouvelles. Cela ne promet pas encore de retrouver l’aisance de la vie d’avant l’opération. Cela dit rien de ce que faisait le patient n’est fondamentalement remis en cause. WIKISTRIKE Nous mettons cet article dans la catégorie Politique Intternational », question de logique. Ça chauffe en Belgique le député Laurent Louis, qui a publié cette liste des personnalités Belges impliquées dans les réseaux pédophiles et dans des affaires politico financières est vilipendé par l’ensemble de la presse belge. Avec à la clé, la plainte du père d’une des victimes de Dutroux, Julie Lejeune. Alors il contre attaque en publiant le premier rapport d’autopsie de Julie et mélissa, deux des victimes de Dutroux. Les médias tous alignés dans ce pays ne cessent de nous répéter que Laurent Louis dépasse les bornes, d’ailleurs selon les médias belges, personne ne l’écoute. On titre le député calomniateur » par-ci, Laurent Louis a dépassé les bornes » par-là… On nous explique doctemment qu’il pète les plombs », et répercute des rumeurs publiées sur un obscur blog complotiste ». De fait, la fameuse liste aurait été interdite de publication en 2000. Ce qui n’étonnera aucun connaisseur des réseaux pédophiles. Si ce n’était si grave, je serais pliée de rire! Car, ces mêmes médias ont permis d’étouffer tranquillement l’affaire Dutroux, qui a bien failli faire exploser ce pays gangrené par le politique. Ces médias ont eu pour seule version Dutroux est un prédateur isolé », il n’y a pas de réseaux pédophiles en Belgique », tout cela n’est que théorie du complot ». On aimerait bien, mais à moins d’être atrophié du cerveau ou juste un propagandiste abruti, on ne peut plus, décemment, dire que Dutroux était un prédateur isolé », aujourd’hui en 2012. Car depuis que l’affaire a été étouffée, chacun a pu lire les pages du dossier d’instruction. Chacun a pu voir qui a été promu du gendarme qui est allé deux fois dans la cave de Dutroux sans jamais rien voir, Michaux, au procureur qui a enterré l’affaire, et jusqu’aux ministres qui ont permis les pires manigances et qui a été détruit les rares flics et gendarmes qui ont été le plus loin possible dans la vérification des témoignages des victimes X1, X2, X3, etc. Bref. Aujourd’hui, celui par qui le scandale arrive est donc attaqué, étrangement par le père d’une des victimes, Jean-Denis Lejeune, qui mène désormais une carrière politique dans le parti qui succède au CEPIC, ce groupuscule politique d’extrême droite dont ont fait partie nombre de gugusses cités par les victimes de l’affaire dutroux, le CDH. Je ne m’étale pas là-dessus, ça a déjà été fait. Lejeune, donc, a décidé de porter plainte pour diffamation contre Laurent Louis. Certes, le député bien à droite fait des déclarations intempestives et souvent provocantes pour se faire une place dans le micro monde politique belge. Mais, cette fois, moi qui cherche à lutter contre ces réseaux pédophiles et qui connais le dossier Dutroux, je dois dire qu’il a eu raison de secouer le cocotier. Mais, il aurait du réviser la liste quand-même, car les anonymous qui l’ont fait circuler sont à 100% dans la diffamation avec cette liste qui n’est étayée par aucun document et ressemble davantage à un délire de complotistes qu’au fruit d’un travail sérieux. On pourrait cependant assister à un moment grandiose à la suite de la plainte de Jean Denis Lejeune, le député a prévenu l’intéressé qu’il compte publier les photos de la première autopsie de Julie et Mélissa, les deux petites officiellement mortes de faim dans la cave de Dutroux. Ce sujet est des plus épineux. Officiellement, les deux petites auraient été kidnappées et mises directement dans la cave, où elles seraient restées 106 jours avant de mourir de faim, pendant que dutroux était en prison justement pour avoir kidnappé deux autres gamines. Pas de chance, la première autopsie disait tout autre chose. Durant ces 106 jours kidnappées le 24 juin 1995, on estime qu’au plus tard elles se trouvaient dans la cave le 6 décembre 1995 quand Dutroux est incarcéré après un interrogatoire, elles ont été officiellement retrouvées mortes par Dutroux quand il est sorti de prison le 21 mars 1996, même s’il dit le contraire. Michèle Martin vient les nourrir une première fois entre le 15 et le 19 janvier 1996. Elle y retourne 5 semaines plus tard, mais ne leur donne pas à manger. Les petites seraient donc mortes de soif. Mi décembre 1995, le fameux gendarme Michaux aurait entendu des voix dans la cave, mais n’a pas cherché plus loin malgré les informations qu’il détenait selon lesquelles Dutroux avait fait une cave dans son sous-sol pour y mettre des gamines kidnappées. Michaux a fait une brillante carrière dans la police par la suite puisqu’il a été nommé commissaire. Ce jeudi, donc, Laurent louis a organisé une conférence de presse au cours de laquelle il a montré les photos des autopsies des deux petites. Sur son blog, il a fait de même, et a aussi publié l’expertise médico légale de ces autopsies. Une heure après, son blog était inaccessible. Pourquoi? Parce que la première autopsie prouve qu’elles ne sont pas mortes dans la cave, et qu’elles ont été victimes de multiples sévices avant de mourir, ce qui n’est pas la version officielle. En outre, les photos de ces autopsies sont retrouvées chez le cardinal belge Daneels, qui a su se taire durant toute sa carrière pour protéger le réseau pédophile qu’est devenue l’Eglise. Pourquoi avait-il ces photos? Évidemment, on nous a servi la soupe à ce sujet. Selon la première autopsie des deux petites, elles avaient l’anus largement dilaté, preuve de sévices sexuels qu’elle ne peuvent pas avoir subis selon la version officielle, puisqu’elles sont restées seules dans la cave. Du coup, le juge Langlois, qui était là pour enterrer l’affaire, a commandé une seconde expertise qui concluait que rien ne s’était passé et que les fillettes étaient mortes de faim et de soif, mais on ne sait pas quand. Expertise 44452836rapportautopsiejm En outre, Mélissa avait les amins attachées quand on l’a retrouvée morte. Par qui? Quand? Il semble que les liens aient été placés post mortem pour déplacer le corps, qui ne pesait plus que 16 kilos. Les jambes de l’enfant auraient été fracturées post mortem aussi. Elle n’avait plus d’hymen signe de pénétrations sexuelles multiples », son anus était dilaté de 4 à 5 cm, et le vagin était dilaté d’environ 15 cm de diamètre. Il est écrit dans le rapport médico légal La petite aurait été violée post mortem, et aussi avant de mourir. Son estomac était vide. Julie aussi était attachée, post mortem, pesant moins de 16 kilos et complètement nue. Son hymen était préservé mais dilaté, son anus était dilaté de plus de 4 cm, ce qui ne s’explique que par des faits de sodomie répétés ». En outre, son corps était en état de putréfaction plus avancée que celui de Mélissa, alors que les deux fillettes ont été enterrées en même temps. Laurent Louis explique donc sur son blog Ce 19 avril, en conférence de presse, j’ai dévoilé certaines pièces capitales du dossier Dutroux mais j’ai aussi et surtout posé des questions essentielles pour tous les citoyens et il sont nombreux qui recherchent la vérité dans ce dossier. Voici les questions que j’estime importantes et auxquelles personne n’a encore voulu répondre. Je fais appel à la population, au peuple belge pour qu’il prenne le temps de la réflexion et qu’il se fasse sa propre idée sans manipulations extérieures. Je me contenterai donc de mettre certaines informations en lumière et de poser certaines questions. – Dans la lettre anonyme dont je me suis fais l’écho la semaine dernière, le journal L’avenir reconnaît textuellement Tout n’est pas faux dans ce mail mais le faux et le non vérifié sont donnés en même temps que le vrai et le recoupé ». Dans ce cas, pourquoi les personnes coupables de crimes ne sont-elles pas inquiétées ? Pourquoi les personnes qui seraient injustement citées ne déposent-elles pas plainte ? Pourquoi les personnes innocentes parce qu’il y en a n’ont pas envie de laver leur honneur face à cette liste qui circule depuis des années ? – Comment peut-on accepter que le Dossier BIS Dutroux ait pu être classé sans suite alors qu’il y avait des milliers de traces génétiques retrouvées dans la cache de Marcinelle à analyser. Peut-on accepter que l’argument utilisé fut le coût de ces analyses alors que chaque année on dépense des sommes folles pour assurer le train de vie de nos Ministres et de la famille royale. La recherche de la vérité et l’incrimination de pédophiles, de tueurs d’enfants ne valent-elles pas tout l’argent du monde ? – Pourquoi les parents des enfants assassinés ont-ils accepté le classement sans suite du dossier BIS ? Ont-ils eu des pressions ? Se sont-ils aperçus que tout était écrit d’avance et que rien n’aboutirait ? Ont-ils été mal renseignés ? J’en profite pour mettre un terme immédiat à la controverse selon laquelle j’aurais diffamé ou menacé Jean-Denis Lejeune ou un autre parent des enfants disparus. Cette polémique est stérile et politiquement téléguidée. Les parents ne sont pas mes ennemis. Mon ennemi, c’est le système qui, sans qu’ils ne s’en rendent compte, les a mis sous cloche. – Pourquoi Monseigneur Danneels a-t-il pendant 4 ans dénoncé via son ouvrage Ces hommes en robes blanches », l’institutionnalisation de la pédophilie dans notre pays dont l’affaire Dutroux ne serait que la partie visible de l’iceberg ? Pourquoi a-t-il changé d’avis en 2000 ? – Comment peut-on accepter que Maître Hissel ait pu être condamné pour téléchargements de photos pédo-pornographiques alors qu’il était l’avocat des parents de Julie et Mélissa ? Comment ne pas se poser des questions quand on sait que de nombreux intervenants du dossier Dutroux ont été soupçonnés de pédophilie ? – Pourquoi les partis politiques ont-ils pris à ce point en charge les parents des petites victimes au point de leur offrir des responsabilités au sein de leur organigramme ? Ne peut-on pas y voir une volonté du système de mettre la main sur les parents sans que ceux-ci ne puissent même s’en rendre compte ? – La Justice persiste à dire que Julie et Mélissa sont mortes de faim alors que sur base des photos et de l’expertise médico-légale, on peut clairement voir que les fillettes souffrent d’une dilatation importante de l’anus dilatation de 4 à 4,5 cm ? Vous me direz qu’elles ont pu être violées avant de mourir de faim. Le problème, c’est que selon l’enquête et surtout selon le procès, les fillettes seraient mortes de faim parce qu’elles auraient été enfermées dans la cache de Marcinelle sans nourriture ou boissons suffisantes alors que Dutroux était à l’époque incarcéré. Dutroux a été incarcéré du 7 décembre 1995 au 20 mars 1996 soit 103 jours ! Comment peut-on dans ce cas découvrir sur les corps des petites victimes une dilatation de l’anus variant de 4 à 4,5 cm ? On ne reste pas 103 jours avec une dilatation de l’anus… Cela signifie qu’elles ont été abusées, violées et torturées juste avant leur mort. Dans ce cas, le violeur/meurtrier est en liberté puisque Dutroux était alors incarcéré. Qui est-ce ? L’expertise parle aussi d’un possible viol post-mortem. Si tel est le cas, personne n’a été condamné pour cet acte pourtant puni par le Code pénal. Est-ce acceptable ? Je joins ici l’expertise médico-légale pour ceux qui auront l’envie de la lire entièrement En ce qui concerne les photos d’autopsie qui montrent l’importante dilatation anale, j’ai décidé de montrer ces photos à tous les citoyens qui le désirent et qui prennent la peine de venir les consulter en mes bureaux. La publication de ces photos constitue un énorme dilemme éthique en ce qui me concerne. J’ai d’un côté l’envie de jouer la carte de la transparence car ces photos constituent la preuve irréfutable que le dossier Dutroux constitue un mensonge d’Etat. D’un autre côté, je ne peux prendre le risque que ces photos tombent entre des mains malintentionnées et soulagent les pulsions de pédophiles présents en nombre dans notre pays ou entre les mains d’enfants qui pourraient être choqués. Ces photos sont donc à la disposition du peuple à condition que ceux qui veulent les voir se manifestent. Nous évitons ainsi de choquer ceux qui ne sont pas prêts à voir des images aussi violentes. Pour prendre un rendez-vous afin de consulter ces photos [email protected] Je terminerai en vous disant qu’en publiant ces documents, je prends des risques très importants. Je reçois d’importantes menaces de mort et des pressions fréquentes. Ces pressions s’étendent aussi à l’ensemble de mes collaborateurs. C’est la raison pour laquelle j’ai décidé de suspendre le Bureau Politique du parti afin d’être le seul à prendre les coups. Tout a cependant été mis en oeuvre afin d’assurer ma sécurité. Je dispose en outre de documents importants contre de nombreux hauts responsables de l’Etat, documents qui sont aujourd’hui ma meilleure assurance-vie. S’il m’arrive quoi que ce soit, ces documents seront publiés immédiatement grâce aux nombreux contacts dont je dispose en Belgique et à l’étranger. J’en profite aussi pour préciser que ni l’argent, ni le pouvoir guident mon combat. Je ne suis guidé que par mon idéalisme, mon refus de l’injustice et la recherche de la vérité. Ayant pris connaissance des documents ci-dessus, ma conscience m’empêchait de rester sans réaction. Les criminels ne peuvent rester impunis ! Si vous aussi vous êtes troublés par le rapport d’expertise, si vous aussi vous vous posez d’importantes questions, si vous aussi vous vous rendez compte que toute la vérité n’a pas été faite dans le dossier Dutroux et que vous ne supportez pas que des criminels soient aujourd’hui encore en liberté, je vous invite à signer et à partager cette pétition qui demande la ré-ouverture du dossier BIS, l’analyse des traces génétiques trouvées dans la cache de Marcinelle et l’ouverture d’une enquête devant démanteler les réseaux pédophiles en Belgique et leurs protecteurs/acteurs au niveau du monde politique, judiciaire et du monde des affaires. Pour signer la pétition et la partager, cliquez ici Pétition Toute la vérité sur l’affaire Dutroux et la pédophilie en Belgique Avec le soutien le plus large possible de la population, j’irai jusqu’au bout sans me soucier des menaces et des pressions afin de nettoyer la classe politique, judiciaire et financière des criminels qui dirigent notre pays ». Donde vamos Bravo ! Bref, aujourd’hui Louis a peur pour sa vie et il ne doit probablement son salut qu’au tapage médiatique actuel, et au fait qu’il dispose encore de docuements compromettants pour nombre de pourritures du monde politique belge, toujours en fonctions. Affaire à suivre… Source Donde vamos / Sott Commentaires Commentaires Suite à l’ivresse du couple Le neveu profite de sa tante.. L’oncle et sa fiancée sont revenus tard à la maison ivres mort. L’homme se jette sur le lit, la femme presque nue, s' assoupit à l’entrée de la maison .A son arrivé le neveu constate l'état de sa tante , en profite pour la tirer dans le couloir et abuser d’elle. Quelques instants après, l'oncle recouvre ses esprits et surpris de l’absence de sa compagne se met à la chercher dans toute la maison .Entendant son oncle, le neveu s' enfuit à toute vitesse mais laisse sur place ses chaussures. A son arrivée prés de sa dulcinée Timothée, c'est le nom de l'oncle, remarque les chaussures qu’il croit appartenir à un de ses hôtes présent depuis 3 jours à son domicile. N’empêche le doute qu’il se serait passe quelque chose de pas "catholique" persiste. Timothée ramène sa dulcinée dans leur chambre et veut entretenir des relations avec elle. La jeune dame refuse et dit Mais tu veux me tuer aujourd’hui?Ce sera la seconde fois. Je suis fatiguée... » Furieux car il vient de tout comprendre,Timothée bondit du lit et s’empare d’un bâton pour aller agresser...l'hôte qui heureusement dort à poings fermés victime d’une fièvre. De plus ses chaussures, à lui, sont bel et bien dans la chambre . Il retourne donc dans le couloir où traînent toujours les chaussures et voit son neveu...les pieds comprend tout de suite que c'est lui l'auteur de "l'agression" sur sa fiancée et qu'il a failli attaquer l'hôte à tort. Timothée chasse alors purement et simplement le neveu de la maison de peur de le tuer s'ils restent sous le même toit renseigne "le quotidien" affaire_de_malade NewsLetters de Seneweb Le meilleur de sélectionné par la rédaction ABACAUn candidat de de Tout le monde veut prendre sa place se souvient parfaitement du jour où il a découvert l'actrice dans son plus simple appareil...Il n'oubliera jamais ! Quand bien même cette scène remonte à trente ans, Laurent a gardé un souvenir intact du jour où il a eu l'immense privilège de découvrir LA Sophie Marceau en train de se déshabiller, sur le tournage d'un film. A l'époque, l'actrice française avait décroché un rôle dans Chouans !, de Philippe de Broca où elle donnait la réplique à Lambert Wilson et Stéphane à Nagui, dans l'émission Tout le monde veut prendre sa place, le candidat en question a raconté de A à Z ce qu'il a vu, comme si c'était hier. "On voit arriver deux femmes dont une en peignoir. Elle enlève le peignoir. Le film se déroule pendant la révolution française, il n’y avait pas de maillot de bain à l’époque. Donc elle va directement dans l’eau… totalement nue", a-t-il expliqué en plateau."J’ai vu les deux parties hein, le haut et le bas quoi. Donc elle sort de l’eau et puis une assistante lui remet son peignoir. C’était loccasion de voir Sophie Marceau totalement nue, pas uniquement le haut mais tout", insiste Laurent, toujours autant émoustillé. Quant à l'animateur du célèbre jeu, il a été surpris par cette anecdote coquine. Comme quoi, il y a parfois de beaux hasards dans la vie. A voir également Anne-Sophie Jilot-Guérand à lire aussi Festival de Cannes Sophie Marceau en combinaison rouge incendiaire met le feu à la Croisette ! Sophie Marceau est-elle allée trop loin ? Cette déclaration inattendue de l’actrice ! En vidéoSur le même thème Ces stars dont on parle En voir plus

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